Archives pour l'étiquette hypothèque

Le courtier immobilier doit s’adapter à sa clientèle car elle change au fil des générations. Les boomers disparaissent petit à petit. Qui les remplacent? Les membres de la génération Y (18 à 34 ans). Ils constituent les deux tiers des premiers acheteurs. Qui sont-ils? Comment les aborder? Voici un résumé.[……]

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Cela arrive à plusieurs d’entre nous. Un décès survient, un changement au travail, un coup de foudre amoureux, des difficultés financières à venir ou, au contraire, le désir soudain de faire de l’argent rapidement, bref les circonstances sont multiples. On se retrouve à un carrefour où on doit décider si on vend notre maison ou si on la loue.

La louer apporte un nouveau lot de responsabilités : trouver de bons locataires, s’assurer que la maison est en ordre, répondre aux urgences, assimiler de nouveaux calculs fiscaux. Ce n’est pas dans le tempérament de tout l’monde.

Vendre est tellement plus facile, mais peut-être moins payant à long terme. Beaucoup moins payant. Et si on approche de la retraite, il faut prendre le temps de s’interroger car on vit beaucoup plus vieux de nos jours. Il faut davantage d’argent si on veut conserver un niveau de vie agréable.[……]

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L’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) était à dresser ses prévisions en termes de mise en chantier pour 2017. Elle tablait alors sur une diminution de 2%. Au même moment, le ministre des Finances Bill Morneau annonçait un resserrement des prêts hypothécaires. L’APCHQ s’est empressée de rayer le taux de 2% pour le remplacer par un taux de 18%.

Une telle différence entre les deux taux montre tout le pessimisme qui habite les experts de l’APCHQ pour l’année 2017.

« Ces données pour l’année 2017 nous préoccupent grandement. La diminution importante des mises en chantier est la conséquence directe des mesures annoncées récemment par le gouvernement fédéral », souligne Georges Lambert, économiste principal à l’APCHQ.

Si ces données se révèlent parfaitement exactes, cela signifie qu’un grand nombre de locataires auront fait une croix sur leurs espoirs de devenir propriétaires en 2017. Ce n’est pas l’an prochain que la province de Québec perdra son titre de championne au pays pour le nombre de locataires sur son territoire.

« Le taux de propriété des ménages québécois est seulement de 61 %, poursuit M. Lambert, nous sommes la seule province en dessous de 70 % du taux de propriété. Le resserrement hypothécaire risque de nuire à 74 000 ménages qui sont actuellement aptes à devenir propriétaires. Nous doutons donc très fortement que l’accès à la propriété puisse s’améliorer avec cette mesure.»

Autres données du rapport de l’APCHQ pour 2017, rapportées textuellement:[……]

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Les nouvelles règles en matière d’obtention de prêts hypothécaires, annoncées récemment par le ministre des Finances du Canada Bill Morneau, font jaser dans le milieu de l’immobilier.

L’Ordre des évaluateurs agréés du Québec les considèrent comme un excellent moyen de lutter contre la spéculation immobilière et d’assurer une stabilité dans un marché sur lequel planaient des risques de turbulence élevés, sans compter l’avantage de l’équité fiscale.

Dans le communiqué de presse, on peut lire: «L’Ordre désire rappeler ses inquiétudes plusieurs fois exprimées quant aux méthodes de contrôle sur les prêts hypothécaires. Il est, plus que jamais, essentiel de réfléchir à l’ensemble des conditions d’octroi de tels prêts et non seulement au seul critère de solvabilité des emprunteurs, sans égard à la valeur marchande de la propriété.[……]

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[caption id="attachment_14344" align="alignright" width="320"]iStock iStock[/caption]

C’est rare qu’un gouverneur de la Banque du Canada se prononce aussi clairement. Aux yeux du gouverneur actuel Stephen S. Poloz, les taux d’intérêt ne sont pas près de remonter.

Rappelons que c’est la Banque du Canada qui fixe les taux au pays. Les institutions bancaires suivent sa ligne directrice.

Poloz a profité d’un discours tenu récemment devant l’Association des économistes québécois, le Cercle finance du Québec et CFA Québec, pour prévenir les Canadiens qu’ils devront apprendre à vivre avec des faibles taux d’intérêt.

Pour les futurs acheteurs et les propriétaires appelés à renouveler leur hypothèque, c’est une très bonne nouvelle. Surtout pour les plus jeunes parmi eux, les membres de la génération Y qui, petit à petit, viennent grossir les rangs des acheteurs potentiels.[……]

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« On devrait payer son hypothèque le plus rapidement possible pour économiser en intérêts », dit Louis-François Éthier, directeur de produits, solutions crédit hypothécaire à la Banque Nationale.

Dans les faits, rembourser un prêt de plus de 100 000 $ sur une courte période est difficilement réalisable, à moins que nos revenus soient élevés, les dépenses moindres, et la vie plutôt stable. Ne pas payer « assez » en étirant les versements est quant à elle une stratégie coûteuse: les paiements couvrent surtout les intérêts, et bien peu le capital, de sorte que le remboursement du solde de la somme octroyée peut prendre des décennies…

C’est pourquoi Louis-François Éthier y va d’une recommandation:

« Il faut surtout s’attarder au montant: combien puis-je me permettre de verser vers mon hypothèque en considérant mon budget et ma capacité de payer ? »

[caption id="attachment_14281" align="aligncenter" width="600"]iStock iStock[/caption]

Quels poids l’hypothèque devrait-elle avoir au quotidien?

La plupart des institutions financières fixent à 30 % la proportion maximale qu’on devrait allouer mensuellement aux dépenses principales liées à la propriété, soient l’hypothèque, les taxes municipales et le chauffage. « C’est un ratio classique de l’industrie: l’amortissement brut à la dette, dit M. Éthier. Il faut toutefois aussi considérer ses dettes personnelles, comme le solde d’une carte de crédit, le prêt-auto, etc. Le rôle du conseiller hypothécaire est de nous orienter dans ce questionnement. »

Bien entendu, la période pendant laquelle on prévoit rembourser un prêt influence aussi directement le montant qu’on devra lui attribuer au quotidien.[……]

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Ce n’est pas d’hier que la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) aide les propriétaires du pays à réduire le montant de leurs factures en matière de consommation d’énergie, contribuant du même coup à la réduction des gaz à effet de serre et accélérant la venue de l’habitation écologique.

Depuis 2004, la SCHL offre un remboursement de prime partiel aux propriétaires qui ont contracté une hypothèque, assurée par la SCHL, en vue d’acheter ou de faire construire une maison éconergétique, ou encore d’entreprendre des travaux de rénovation destinés à améliorer l’efficacité énergétique de la résidence.

Le taux de remboursement de prime était de 10%. Or, la SCHL annonçait récemment qu’elle portait ce taux à 25% «en fonction du niveau d’efficacité énergétique obtenu», et que les critères d’admissibilité avaient été mis à jour.[……]

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