Archives pour l'étiquette hypothèque

[caption id="attachment_13312" align="alignright" width="300"]iStock iStock[/caption]

L’Institut de la statistique du Québec publiait récemment des informations se rapportant au comportement du propriétaire québécois face à son hypothèque.

Les voici de façon quasi intégrale:

-Les familles québécoises propriétaires de leur logement versent en moyenne un paiement initial équivalant à 29 % du prix de la résidence, ce qui se traduit par un solde hypothécaire d’environ 130 000 $.

-Les familles ayant dû contracter une hypothèque prennent environ 25 années pour rembourser l’emprunt.[……]

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Il y a de ces aspirants propriétaires qui tournent en rond durant des années. Achète, achète pas? Ils visitent un tas de maisons (plex ou copropriété) sans jamais se décider. Certaines leur plaisent, beaucoup même, mais ils leur tournent le dos au dernier moment.

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Excès de prudence? Manque de confiance en ses moyens? Peur de payer trop cher? Trop d’histoires d’horreurs entendues? Trop frileux pour faire face à l’hypothèque? Budget trop serré? Peur de la maladie? Tous ces motifs sont humains.

Par contre, ils se font irrationnels lorsque le budget, s’il est bien géré, permet une transition sans heurts de l’état de locataire à celui de propriétaire. L’argent est là, mais l’aspirant propriétaire repousse continuellement en avant la décision finale. Au bout du compte, le rêve de sa vie risque de lui échapper. [……]

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Tous les signes sont là, commencent à murmurer les analystes. Les taux d’intérêt vont grimper en 2016. Que faire avec l’hypothèque?

[caption id="attachment_11841" align="alignleft" width="300"]iStockphoto iStockphoto.com[/caption]

Ou bien vous attendez qu’ils bougent avant de bouger, ou bien vous bougez immédiatement pour limiter les dégâts financiers. Surtout si votre budget est plutôt serré.

La solution la plus efficace reste le remboursement accéléré de votre hypothèque. Il y a plusieurs façons d’y parvenir. L’Agence de consommation en matière financière du Canada les énumère et nous nous en sommes inspirés.[……]

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L’année 2014 a laissé un léger goût amer avec des ventes résidentielles moindres qu’escomptées, motivant plusieurs analystes à prévoir une prudente augmentation de 2 % pour 2015. Or, malgré divers rebondissements économiques, le marché immobilier nous a réservé plusieurs belles surprises à l’échelle de la province au cours de cette année.

Taux directeur, dépréciation du dollar et emplois

Notamment, au grand étonnement de tous, la Banque du Canada a décidé, au début de l’année, de réduire son taux directeur à 0,75 %, favorisant ainsi une diminution des taux hypothécaires. Les répercussions de ce changement ont donné lieu à des termes plus bas et à de généreux rabais. De surcroît en juillet dernier, la Banque du Canada récidivait, faisant passer son taux directeur à 0,50 %. Si cette deuxième diminution n’a pas eu autant d’effet sur les taux hypothécaires que la précédente, elle a au moins eu le mérite d’influencer les banques canadiennes à réduire leur taux préférentiel respectif, aidant entre autres l’économie canadienne à retrouver de sa vigueur.

Également, au chapitre des facteurs influençant le marché, le domaine de l’emploi s’est montré particulièrement résistant aux fluctuations, affichant la création de plus de 80 000 emplois au Canada au cours de l’année.

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Plus de ventes que prévues et légère augmentation de prix

Si plusieurs anticipaient un faible accroissement des ventes résidentielles de 2 % pour 2015, comme mentionné plus haut, on dénotait déjà, à mi-chemin de l’année, une augmentation de 5 %. La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) prévoyait même terminer l’année avec 6 % ou 7 %, annonçant du même coup que 2015 se clôturerait sans doute avec près de 75 000 propriétés vendues, une affirmation partagée également par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

Concernant les prix des propriétés auxquels plusieurs prêtaient une stagnation prochaine, ceux-ci ont enregistré une timide augmentation de 1 % selon la FCIQ au cours de 2015. À cet effet, la SCHL présageait « un prix moyen Centris® entre 260 000 à 280 000 $ pour cette année ».[……]

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Comment le propriétaire canadien perçoit-il le marché immobilier actuellement?

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Voici les réponses telles que rapportées par la Banque Manuvie du Canada par le biais d’un sondage mené auprès de 2 372  propriétaires canadiens de toutes les provinces, âgés de 20 à 59 ans et dont le ménage dispose d’un revenu d’au moins 50 000 $.[……]

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«Actuellement, les acheteurs québécois partout dans la province bénéficient des conditions les plus favorables des derniers mois. Les récentes améliorations de l’accessibilité à la propriété, de même que les derniers gains des plus encourageants sur le plan de l’emploi, ont sans aucun doute contribué à tirer le marché provincial de sa morosité. »

Ce n’est pas moi qui le dis, mais Craig Wright, premier vice-président et économiste en chef chez RBC. M. Wright s’appuie sur les conclusions du plus récent rapport Tendances immobilières et accessibilité à la propriété, publié à chaque trimestre par les analystes de Recherche économique RBC.

Pour un troisième trimestre consécutif, soit d’avril à juin dernier, acheter une propriété est devenu encore plus facile au Québec en ce sens que l’achat fait moins mal au budget du ménage que les mois précédents. Et cela concerne tous les types d’habitation, du bungalow à la copropriété en passant par la maison à deux étages.[……]

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Quel est le minimum requis pour la mise de fonds ?
La mise de fonds minimale exigée pour l’obtention d’un prêt à l’achat d’une propriété doit être équivalente à 20% du prix de vente de la propriété. Si vous n’avez pas la somme requise, vous pouvez recourir à l’assurance hypothécaire et vous n’aurez alors que 5% du prix de vente de la propriété à débourser. Dans un cas comme dans l’autre, vous devrez démontrer que vous possédez l’équivalent de 1,5% pour les frais de démarrage.

Qu’en est-il des constructeurs qui offrent d’acheter une propriété sans aucune mise de fonds ?
Certains constructeurs offrent des programmes approuvés par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) qui permettent d’acheter une propriété sans mise de fonds. Par contre, ces programmes comportent des critères très précis et la mise de fonds n’est habituellement que reportée à plus tard.

Cela dit, ce ne sont que quelques cas d’exception puisque la loi exige une mise de fonds minimale lors de l’achat d’une propriété. La meilleure façon de réduire votre mise de fonds initiale est d’assurer votre prêt avec un assureur hypothécaire, par exemple la SCHL ou Genworth. Vous pourrez ainsi acheter une propriété en versant une mise de fonds minimale de 5%.

Dans tous les cas, la mise de fonds doit provenir de vos propres ressources conformément à l’assurance prêt hypothécaire traditionnelle ou de dons de vos proches parents.

Les acheteurs qui savent bien gérer leurs dettes peuvent verser une mise de fonds de 5% en ayant recours à plusieurs sources, notamment un emprunt ou les incitatifs accordés par le prêteur, pourvu qu’il n’y ait aucun lien de dépendance avec l’achat ou la vente de la propriété. Communiquez avec votre prêteur pour vérifier s’il peut vous offrir ce produit d’assurance et pour connaître les critères d’admissibilité.[……]

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