Archives pour l'étiquette Université de Montréal

Les gens sont-ils suffisamment informés lorsqu’ils contractent une hypothèque? L’organisme Option Consommateurs et une chercheuse de l’Université de Montréal émettent un doute.

L’organisme de défense des consommateurs et la professeure Marie Annik Grégoire ont mené une étude pour savoir si les gens saisissaient bien toutes les subtilités au moment de souscrire à une hypothèque. L’étude s’intitule : Contrat d’hypothèque immobilière de type parapluie. Les consommateurs sont-ils bien informés? Il semble que non.   [……]

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Près de 100 000 Montréalais vivent dans un quartier où un bruit semblable à celui d’un sèche-cheveux se fait entendre, vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

[caption id="attachment_12514" align="aligncenter" width="579"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

«Dans l’ensemble de l’île de Montréal, le bruit ambiant extérieur oscillait entre 50,5 et 68,8 décibels (dBA) avec une moyenne de 58,3. Concrètement, 50 dBA équivalent au bruit d’une discussion à voix à peine plus basse que la normale, tandis que 68,8 dBA s’apparentent au son d’un sèche-cheveux», écrivait Martin Lasalle dans le journal Forum de l’Université de Montréal, en faisant référence à une recherche effectuée par un groupe de chercheurs sous la direction d’Audrey Smargiassi, professeure à l’École de santé publique de l’Université de Montréal.

Autre découverte: [……]

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Beaucoup de propriétaires optent pour un quartier où se trouve un parc d’amusement. Ils veulent que leurs enfants aient un endroit où jouer, grimper, s’amuser.

Si le parc est dénué d’appareils de jeux, les enfants peuvent quand même s’amuser. Ils courent sur l’herbe, jouent à la cachette derrière les arbres, font des jeux dans leur tête.

Si le quartier ne contient aucun parc, des avenues vertes offrent au moins un cadre de vie agréable. Arbres, arbustes, gazon par endroits, oiseaux qui chantent.
Bref, le propriétaire à la recherche d’une maison s’arrange toujours pour offrir à sa petite famille un quartier propice au développement des enfants.

Une étude menée par une équipe de chercheurs du Centre de recherche du CHU Ste-Justine, et rapportée par le journaliste Daniel Baril du journal Forum de l’Université de Montréal, nous apprend que les arbres sont davantage qu’un espace de jeu pour les enfants. Ils leur procurent un sentiment de sécurité. Et toute la famille en bénéficie.

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Vous vous levez morose un matin. Pessimisme noir. Quelqu’un épluche une orange juste à côté. Oh que l’arôme est agréable! Vous voilà moins morose.

Un blues au milieu de la journée? Vous vous offrez un verre de jus d’orange tout frais et, tout à coup, vous vous sentez plus léger.

Soir de déprime après une mauvaise journée. Le crépuscule est fantastique. Vous prenez deux minutes pour le contempler. L’orange du ciel vous apaise. Déjà vous vous sentez mieux.

L’orange, c’est la fraîcheur, la joie de vivre et l’apaisement. Trois sensations qui font des miracles en décoration.

La couleur orange stimule les sens sans tomber dans l’hyperactivité que provoque le rouge, tout en laissant filtrer la douceur et la sérénité du jaune.

Couleur tonique par excellence, l’orange est incontournable pour une pièce aux teintes agrumes, aux côtés du jaune citron et du vert lime. Ajoutez du rouge et vous obtenez un effet vintage qui évoquera le happening des années 60.

[caption id="attachment_11680" align="aligncenter" width="580"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Pas besoin d’inonder une pièce d’orange pour apprécier cette couleur chaude, bien que cela existe. Nous avons déjà vu une salle de séjour orange d’une extrémité à l’autre. Des projecteurs fixés un peu partout faisaient miroiter des halos lumineux sur de nombreuses surfaces de verre. L’effet était ahurissant.[……]

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[caption id="attachment_11621" align="alignright" width="344"]Édifice Aldred à Montréal. Wikipedia Colin Rose Édifice Aldred à Montréal. Wikipedia Colin Rose[/caption]

L’idée est brillante. Le Musée des beaux-arts de Montréal vous a concocté une promenade dans les rues de Montréal durant la saison de votre choix.

Le musée a créé un calepin sous la forme d’un livre dans lequel vous êtes invité à découvrir les immeubles Art déco de Montréal. Vous remplissez le calepin au fur et à mesure de votre promenade .
Vous pouvez même faire l’exercice en famille si vos enfants sont suffisamment grands. [……]

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Comme nous l’avons expliqué dans le billet Raffinement et élégance, l’Art déco a pris son envol après la Grande Guerre (1914-1918). Pour redonner espoir aux gens, il fallait créer une illusion de bonheur et de prospérité. Cela devait se voir partout. Même sur les gratte-ciel ayant la tête dans les nuages.

Les édifices Art déco donnent l’impression d’être plus hauts qu’ils ne le sont en réalité. C’est que les fenêtres sont en hauteur et les lignes directrices de la façade sont verticales. Nous sommes dans les années 20 et au début des années 30, ne l’oubliez pas. La Grande Guerre avait écrasé l’être humain. La verticalité symbolise l’élan vers une vie nouvelle et vers la prospérité. L’être humain se relève.

[caption id="attachment_11549" align="alignright" width="314"]iStockphoto Chrysler Building, iStockphoto[/caption]

Certains architectes ont osé monter plus haut. Ils ont doté les immeubles de coiffures étranges, souvent reliées aux activités quotidiennes du propriétaire du bâtiment.

Prenez le sommet du Chrysler Building à New York, édifice Art déco par excellence. Une flèche de 58 mètres et pesant 27 tonnes s’élève au-dessus d’une structure dans laquelle certains voient le design du pare-choc des autos Chrysler de l’époque. La structure se compose de sept arches autour desquelles brille un soleil.

Soleils et auréoles reviennent souvent en Art déco. D’ailleurs, l’Empire State Building est reproduit dans son propre hall d’entrée avec des rayons solaires gravés dans une murale. Le soleil symbolise le bonheur et la richesse.[……]

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