Archives pour l'étiquette John Lennon

[caption id="attachment_12877" align="alignright" width="334"]Chambre d'Ernest Hemingway, La Havane Ambos Mundos, Wikipedia Chambre d’Ernest Hemingway, La Havane Ambos Mundos, Wikipedia[/caption]

L’un des frères Gallagher, du groupe rock britannique Oasis, a déjà loué un appartement au Dakota Building, près de Central Park à New York. Il voulait dormir le plus près possible de l’appartement où avait vécu son idole: John Lennon. D’autant plus que le fondateur des Beatles, créateur de la chanson Imagine, avait été assassiné aux portes de l’immeuble en décembre 1980.

Je suppose que Gallagher a sûrement dormi dans la suite 1742 de l’hôtel Reine Elisabeth, à Montréal. C’est dans cette suite que Lennon et Yoko Ono ont tenu leur fameux bed-in en 1969, d’une durée d’une semaine, au cours de laquelle ils ont enregistré la chanson mythique Give Peace a Chance.

Lu sur le site du Reine Elisabeth:[……]

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[caption id="attachment_8705" align="alignright" width="330"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

William Blake disait: «Il y a des choses connues et des choses inconnues; entre elles, il y a les portes.» À travers ces mots, l’artiste anglais met en relief le pouvoir immense de la porte et toute la symbolique qui s’y rattache: la porte séparant la lumière et l’obscurité, la sécurité et la fuite, le quotidien et le mystère.

Une porte qui refuse de s’ouvrir alors qu’elle doit s’ouvrir à tout prix, ça fait mal. La porte peut tuer. Physiquement (comme dans le cas d’un incendie) ou émotivement.[……]

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Durant les périodes intenses de création, John Lennon se levait tard à la maison après une longue nuit de répétition au studio d’Abbey Road.  Paul McCartney arrivait chez lui peu de temps après. Parfois, il tirait John du lit.

Dès le réveil, Lennon s’installait  souvent au piano ou à la guitare et se mettait à jouer. McCartney le suivait ou se pointait avec un air en tête qu’il fallait creuser. Puis on filait au studio. De retour à la maison le soir,  Lennon se mettait au piano ou à la guitare avant le dodo. C’était sa vie.

Je me souviens avoir lu que, parfois après sa sortie du lit, Robert Charlebois s’installait au piano. Parfois nu de la tête aux pieds, il cherchait la note qui lui avait échappé la veille au studio.  Pas étonnant qu’il ait chanté dans la chanson Ordinaire: «Ma vie à moi, c’est la musique.»

Au début des années 90, je suis allé à la maison du chef d’orchestre Guy St-Onge  pour réaliser une entrevue. L’homme est l’un des musiciens les plus accomplis au Québec. Il a été pendant des années le directeur musical à l’émission Ad Lib animée par Jean-Pierre Coallier. Il a aussi accompagné Gregory Charles en spectacle.
J’avais été frappé par le nombre d’instruments de musique dans les pièces de la maison. Au sol et aux murs. Il était évident que toute la vie de Guy St-Onge, même chez lui, tournait autour de la musique.

C’est bien beau la musique, mais il faut un endroit où jouer sans nuire à autrui. [……]

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Pour la duchesse de Windsor, le chez soi devait être l’endroit dans lequel elle pouvait accumuler bijoux, pierres précieuses, robes parisiennes, un endroit qui lui permettait de concentrer toutes ses richesses pour ensuite les étaler à la face du monde. Les endroits étaient nombreux car la duchesse et son mari, le duc de Windsor, possédaient plusieurs résidences et châteaux.[……]

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