Archives pour l'étiquette ménages canadiens

[caption id="attachment_7022" align="alignright" width="373" caption="Source : iStockPhoto"][/caption]

Un total de 1,7 million de ménages canadiens a effectué des travaux de rénovation en 2011 dans les dix grands centres urbains du pays, une légère baisse par rapport à 2010 où le nombre était de 1,9.
C’est la conclusion de l’enquête annuelle sur la rénovation et l’achat de logement effectuée par la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL).

Par contre, le coût moyen des rénovations en 2011 est de  13 709 $ comparativement à 12 972 $ en  2010. Le nombre de ménages ayant réussi à rénover sans s’endetter est quasi identique à celui de l’an dernier, soit 68%.

Quelle ville du Canada renfermait les rénovateurs les plus actifs? [……]

Read more

J’aime beaucoup le chroniqueur Patrick Charlebois. Dans sa dernière chronique de L’Hebdo Journal à Trois-Rivières, il faisait part de ses inquiétudes face au marché immobilier.

« Ce qui est surtout inquiétant en regardant le marché immobilier, c’est le niveau d’endettement des ménages, écrit-il. À ce rythme, les ménages canadiens auront bientôt à supporter une dette de 1,50 $ pour chaque dollar de revenu, un niveau record, avec un marché immobilier qui a augmenté de 121 % en10 ans au Canada, sans tenir compte de l’inflation. L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a d’ailleurs qualifié dernièrement le marché immobilier canadien de « cher » en ajoutant que plus tard en 2012, si les taux d’intérêt augmentent tel que prévu, 7,5 % des Canadiens pourraient perdre leurs maisons.

« On peut aussi rappeler ici qu’une baisse éventuelle du marché immobilier peut avoir des effets négatifs indirects, comme« l’effet patrimoine » par exemple. Lorsque notre maison prend de la valeur, nous avons le sentiment d’être plus riche, ce qui nous dispose davantage à dépenser plus pour nos loisirs, les restaurants et les voyages par exemple. Or, si les prix des maisons diminuent, « l’effet patrimoine » aura un impact négatif sur les dépenses discrétionnaires des ménages, ayant donc un impact néfaste sur l’ensemble de l’économie. »[……]

Read more