Ayant lu notre billet Avant de craquer, insonorisez!, publié récemment, une lectrice du blogue nous demande: « Pourriez-vous me dire quelle est la meilleure méthode d’insonorisation en ce qui concerne non pas le son mais les bruits de pas? J’ai une locataire au-dessus de moi qui marche très fort. De plus, j’entends lorsqu’elle ferme ses portes d’armoires, etc. Étrangement, je n’entends pas sa télévision ou sa radio, mais j’entends son téléphone alors que sa voisine de palier se trouve être moins bruyante ou brusque et je ne l’entends presque pas. Mon mari me dit que l’insonorisation n’est bonne que pour le son de la voix, de la télé, etc., mais pas pour les bruits de claquement ou de pas lourds sur le plancher. Quelle serait la meilleure méthode d’insonorisation pour ma problématique? »

Voici notre réponse: [……]

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J’ai toujours eu l’impression que les gens parlaient beaucoup de leurs maisons. Que ce soit à l’usine, au bureau ou chez moi, il me semble avoir entendu un tas de commentaires revenir et revenir et revenir. Exemples: «J’ai hâte de finir de payer ma maison», «Il faut que je rénove la salle de bain», «Pensez-vous que les taux d’intérêt vont monter?», «Merde, il y a toujours quelque chose à faire!», «Si je n’avais pas vendu ma première maison, elle vaudrait tant aujourd’hui.» Et bien d’autres commentaires comme ceux-là.[……]

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Deux fois première ministre du Pakistan et assassinée en pleine rue en décembre 2007, Benazir Bhutto a vécu longtemps enfermée dans la maison familiale.

Elle a décrit dans son autobiographie les émotions vécues durant deux longues périodes de résidence surveillée.

La première fois, elle avait 26 ans. Le Pakistan vit alors sous une dictature militaire. Soldats et paramilitaires montent la garde, à l’intérieur et à l’extérieur de la résidence. Benazir vit enfermée avec sa mère.

«La presse occidentale a été informée par le régime que nous sommes assignées à résidence. Mais c’est inexact. L’assignation à résidence, au Pakistan, est purement formelle, la personne détenue étant autorisée à recevoir des visites de ses amis et de sa famille, à donner des interviews à la presse, à téléphoner, à avoir des livres et parfois même à faire un court déplacement pour un rendez-vous à l’extérieur. Soumis au règlement de la détention au domicile, Al-Murtaza (nom de la résidence) a été considérée comme une prison, où règne  le règlement du Manuel des prisons. Notre téléphone est coupé. Ma mère et moi nous sommes confinées dans la propriété sans autorisation de visites, sauf quelquefois pour Sanam (sa sœur).»[……]

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Tout est blanc. Les plafonds, les murs, les planchers, les meubles, les armoires, même les coussins décoratifs du sofa. Aucune tache de couleur, nulle part. Un blanc infini, un blanc omniprésent, un blanc organique lessivé de toutes couleurs.

Si la résidence est grande, nous aurons l’impression de mettre les pieds dans une cathédrale de neige. Vous savez, ces paysages que l’on croise en forêt l’hiver alors que les arbres croulent sous la neige. Tout est pur, serein, apaisant. Un long silence qui dure.

Cela n’a aucun sens, diront les inconditionnels de la couleur, on ne met pas un intérieur tout en blanc. Une telle option dénote un manque d’imagination, voire une absence totale de goût. De la paresse même. De plus, vivre là-dedans serait impensable. La couleur, c’est la vie. Tuer la couleur, c’est tuer la vie.

Pourtant, certains ont osé. Si vous avez eu l’occasion de visiter plusieurs propriétés le long des côtes américaines, vous avez peut-être remarqué que l’intérieur des résidences situées au bord de la mer est souvent d’un blanc absolu.

Alors, l’aventure vous tente?

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