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Pour courtiers et propriétaires curieux

Pourquoi le marché immobilier au Québec se porte bien comparativement au reste du pays? Comment tirer profit du marché en 2018? Pourquoi, depuis très longtemps, le logement locatif coûte-t-il moins cher à Montréal qu’à Toronto? Pour ou contre la gentrification d’un quartier à Montréal?

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L’édition d’avril 2018 du magazine L’Actualité fournit sa part de réponses à toutes ces questions à partir d’analyses menées par des observateurs et des spécialistes du marché immobilier.

La journaliste Catherine Dubé aborde le bilan de santé exemplaire du marché québécois. De plus, malgré la remontée des taux d’intérêt et le resserrement des règles hypothécaires, elle qualifie d’idéal le contexte pour les aspirants propriétaires qui rêvent toujours d’acquérir une propriété. Idéal aussi pour les propriétaires qui songent à vendre leur propriété.

Elle cite les prévisions très favorables  de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) qui, non seulement avait annoncé l’atteinte d’un record de transactions l’an dernier, mais avait aussi prédit qu’il serait battu en 2018.

Ailleurs au pays, c’est la décélération dans un grand nombre de marchés, surtout les «marchés locomotive» comme le grand Toronto, le grand Vancouver et autres marchés de l’ouest, comme celui de Calgary.

Selon les plus récentes statistiques publiées par l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles ont chuté de 6,5 % de janvier à février, le résultat le plus faible en cinq ans. Les ventes réelles (non désaisonnalisées) ont baissé de 16,9 % d’une année à l’autre en février, le niveau le plus bas en cinq ans pour le mois de février. Le nombre de nouvelles inscriptions stagne.

En janvier, les ventes résidentielles à l’échelle nationale avaient montré un recul de 14,5 % de décembre 2017 à janvier 2018, tandis que les ventes réelles (non désaisonnalisées) avaient baissé de 2,4 % d’une année à l’autre en janvier.

Cela a obligé l’ACI a révisé ses prévisions. «Les ventes baisseront au premier semestre de 2018 pour rebondir légèrement au semestre suivant alors que l’incertitude s’estompe», prévoient les analystes de l’ACI. Conséquence à prévoir: baisse des ventes à l’échelle du pays de 7,1 %. Au Québec, laisse sous-entendre l’ACI, on n’entrevoit que du positif.

Le reportage du magazine L’Actualité décrit les quatre as que les Québécois ont dans leur manche pour passer à travers les soubresauts du marché immobilier. À vous de les découvrir.

Un tableau indique les prix médian des propriétés au Québec, de Westmount à Matane en passant par Val-David et Asbestos.

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