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Pour courtiers affamés

Le journaliste Marc-André Sabourin brosse un portrait complet du marché de l’immobilier au Québec dans la revue Actualité, édition avril. Toutes les régions de la province sont passées à la loupe et l’avenir du marché passe au crible de l’analyse.

Titre de l’article: Beau temps pour acheter!

Si vous préférez la version papier, dépêchez-vous de mettre la main sur le magazine avant que l’édition ne disparaisse.

Dès le départ, la courtière de Via Capitale à Matane, Joanne Gagné, donne le ton à l’article. Elle raconte avec un brin d’humour la ruée des boomers vers les propriétés le long du fleuve dans la région du Bas St-Laurent, de la fin des années 1990 jusqu’au milieu des années 2000. Aujourd’hui, c’est la ruée à l’envers. Ces boomers se hâtent de vendre leurs propriétés pour retourner dans les grands centres urbains. Vous aurez deviné pourquoi : faut bien guérir les bobos de la vieillesse naissante, sans compter les petits-enfants qui demeurent trop loin.

Le reste du reportage se concentre sur une conjecture : qu’arrivera-t-il au marché de l’immobilier lorsque la plupart des boomers, fléchissant sous le poids des années, vendront leurs propriétés?

Le journaliste ramène sur le tapis ce que la plupart des analystes ont observé ces derniers temps: recul de la vente des maisons individuelles et des copropriétés, délais de vente plus long, recul du prix médian sur plusieurs fronts. Bref, le marché est inondé de maisons à vendre et c’est l’acheteur qui en profite.

Plusieurs experts donnent leurs points de vue. Ils abordent le problème sous plusieurs angles : démographie, création de ménages, dynamique campagne-ville, la ruée des boomers et des jeunes vers l’achat de copropriétés.

Un spécialiste recommande de ne pas investir dans l’immobilier, un autre affirme le contraire car, soutient-il, les paysages bucoliques à la campagne séduisent les boomers. Chacun déballe ses arguments.

Bonne lecture.

Photo: istock.com