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Comment l’acheteur trouve son courtier

C’est en interrogeant leur entourage que les acheteurs trouvent leur courtier immobilier avant de procéder à l’achat de leur propriété. Le bouche à oreille passe bien avant les recherches en ligne, surtout chez les baby boomers. Voici les détails.

Selon une étude menée par Zillow, un leader dans le marché américain, 33% des acheteurs se basent sur les recommandations de leur entourage pour tenter de trouver un courtier immobilier digne de confiance. Un pourcentage de 26% préfère passer par Internet.

Comme il fallait s’y attendre, les acheteurs les plus âgés se tournent vers le bouche à oreille. Seulement 20% des baby boomers avaient trouvé leur courtier par Internet, et le pourcentage est de 19% chez les 64 ans et plus.

Donnée intéressante: 53 % des acheteurs interrogés se sont livrés à une comparaison entre deux courtiers immobiliers. Et 26 % d’entre eux ont retenu deux courtiers une fois l’exercice terminé. Une fois de plus, il y a une différence au niveau des générations car 67 % des plus de 64 ans et 57 % des 49-64 ans se sont limités à un seul courtier. Le pourcentage chute à 44 % chez les membres de la génération X et 38 % chez ceux de la génération Y.

Probablement par nervosité, les premiers acheteurs sont ceux qui consacrent davantage de temps à la recherche du courtier immobilier. Ils comparent les courtiers, consultent leurs historiques, demandent à un proche de leur décrire son expérience avec un courtier.

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Sur quels critères se basent les acheteurs pour choisir le bon courtier? Trois ressortent du lot, selon Zillow : l’impression que dégage le courtier à la première rencontre (84%), sa connaissance du marché local (82%) et sa réputation (71%).

En résumé, l’acheteur se tourne vers le courtier qui dégage, dès le premier contact, une impression de solidité, à savoir de la confiance en soi et une expertise sans faille. Comme on dit, la compétence est la plus grande des séductrices.

L’étude de Zillow porte sur le marché immobilier américain. Reste qu’elle doit refléter la façon de faire des acheteurs d’ici, les deux cultures étant très semblables.

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