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Que le vrai Dark Vador se lève!

Dans quelques semaines, les fans de la série Star Wars auront droit à un nouveau film qui s’annonce depuis des mois. Exemple : mon fils. Il ne tient plus en place. Les billets sont déjà achetés. Une quinzaine de billets pour toute la bande.

Ferrohaus, Zurich. Wikipedia Docmo
Ferrohaus, Zurich. Wikipedia Docmo

En attendant le film, joignons l’immobilier à la science-fiction, histoire de s’amuser un peu.

Si vous êtes un fan de Star Wars, selon vous, quel est celui des deux immeubles en photos qui évoque le plus le personnage de Dark Vador?

Cette deuxième photo est l’hôtel de ville de Londres. Certains citoyens appellent l’édifice Darth Vader (Dark Vador en anglais), d’autres y voient un casque de moto, d’autres un œuf déformé, d’autres un crustacé.London City Hall WIKIPEDIA GARRY KNIGHT FLICKR inusite

Cette énorme bulle vitrée, cette demi-sphère étirée est censée symboliser la transparence en administration publique. Comme le Reichstag à Berlin. L’architecte est le même d’ailleurs: Norman Foster.

L’édifice, qui ne plaît pas à toutes et à tous, a suscité la controverse à Londres. Le maire de l’époque a été secoué. D’ailleurs, il appelait lui-même l’immeuble le «testicule de verre». Son successeur s’est montré plus modéré dans ses propos. Il utilisait le mot «oignon».

On dispose de peu d’informations concernant le premier immeuble. Il s’agit de la Ferrohouse, située à Zurich, en Suisse, et conçue par l’architecte Justus Dahinden.

Il a été construit en 1970, donc bien avant la naissance de Star Wars. Serez-vous étonné d’apprendre que l’immeuble appartient à l’architecture futuriste? Dans la définition du concept se trouvent les mots science-fiction et engin spatial. Plus tard s’est ajoutée l’expression ère spatiale. Tu parles d’une coïncidence!

 

Références

  • Wikipedia français à l’article Hôtel de ville de Londres
  • Wikipedia anglais à l’article City Hall London
  • Wikipedia français à l’article Architecture futuriste
  • Architecture contemporaine en Europe, Christian de poorter, Gründ, 2009, 317 pages

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