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Vous êtes prêt à payer plus cher

Quel est le facteur qui pousse la plupart d’entre vous à  payer plus que le prix demandé pour une maison? Non, ce n’est pas son apparence. Ni son aménagement extérieur, ni son design intérieur. C’est l’endroit où la maison se trouve.

Selon un sondage BMO, c’est le cas de deux propriétaires sur trois (70%) incluant les futurs acheteurs (63%). Ca fait beaucoup!

Parmi les futurs acheteurs d’une première maison, ce sont les hommes qui sont prêts à piger davantage dans leurs poches (70%) pour s’offrir la maison. Chez les femmes, la proportion est de 57%.   

Toujours parmi les futurs acheteurs d’une première maison, les hommes avouent que les rumeurs d’une hausse des taux d’intérêt les poussent à acheter la propriété au plus vite dans une proportion de 39% comparativement à 26% chez les femmes.  

C’est pas fini les gars! Attachez votre ceinture. Il semblerait que deux fois plus d’hommes que de femmes ont admis s’être retrouvé coincés dans une surenchère, soit 16% comparativement à 8%.

Par contre, 44 % des femmes trouvent difficile d’admettre qu’elles se sentent dépassées par les choix et les décisions que provoque l’achat d’une maison. Chez les hommes, c’est 28%.

J’avance une explication très personnelle. Je ne sais pas si vous êtes d’accord, mais je pense que le côté « gambler » des hommes explique en grande partie l’attitude des gars devant l’achat d’une première maison.

« Il est facile de se laisser gagner par ses émotions lors de l’achat d’une maison, en particulier dans le marché en ébullition d’aujourd’hui », explique Jane Yuen, directrice principale – Prêts hypothécaires, BMO Banque de Montréal. « Il est difficile de laisser tomber une maison que vous croyez être celle de vos rêves, mais les acheteurs doivent éviter de tomber dans une guerre de surenchère qui portera le montant de leurs versements hypothécaires au-delà de leur zone de confort. En bref, vous devez savoir à quel moment vous retirer. »

Elle ajoute : « BMO conseille aux Canadiens de soumettre leur budget à une simulation de crise dès aujourd’hui, en tenant compte d’un taux d’intérêt plus élevé, afin de s’assurer d’être adéquatement préparés maintenant que les taux ont commencé à augmenter. En prenant le prêt à taux fixe de cinq ans de BMO, assorti d’un taux de 4,20 pour cent et d’une période d’amortissement maximale de 25 ans, vous économiserez des milliers de dollars en frais d’intérêt et vous vous libèrerez de votre hypothèque une décennie plus tôt. »

Pour lire le communiqué de presse en entier et connaître les détails du sondage : www.bmo.com/francais

(Photo baqchich.info)