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Une flâneuse à Berlin, Vienne et Zagreb

Pourquoi les interrupteurs, dans ces trois villes, sont placés à l’extérieur des salles de bain dans plusieurs maisons et lieux publics? Pour décourager les séances trop longues? Pour pouvoir jouer des tours ou faire peur en fermant les lumières?

Immeuble verre Berin, CAS
Immeuble verre Berin, CAS

Pourquoi utiliser autant le verre dans les nouveaux édifices à Berlin? Ils n’ont pas peur que leurs panneaux de verre tombent comme ceux de notre Grande Bibliothèque nationale à ses débuts? Ou c’est peut-être de Berlin que la solution est venue pour ne plus qu’ils échouent sur le trottoir. Il faut dire que l’Allemagne détient un brevet pour leur système de sécurité de pattes de fixation du verre.

Pourquoi ce rocher devant la porte du bunker numéro un et non l’autre (voir photo du billet du 27 mai 2013)? Pour attirer l’attention? Pour protéger l’importante collection d’œuvres d’art contemporain à l’intérieur? Ou peut-être que le rocher est une œuvre d’art en soi.

Pourquoi ne pas écrire, ici au Québec, le nom de la rue sur les plaques d’adresses civiques comme sur celles rencontrées dans des rues à Vienne? C’est tellement plus rapide et facile pour se repérer.

Gare de Zagreb, Croatie (Casarazzi)
Gare de Zagreb, Croatie (Casarazzi)

Pourquoi interdire les cornets de crème glacée dans cette section de la gare de Zagreb? Ou les cellulaires? Les armes à feu, est-ce comprendre qu’ailleurs c’est correct?  Je me rappelle la même affiche d’interdiction d’armes à feu aux portes d’un hôpital de Sarajevo en 2006. Revenons à la crème glacée. Est-ce parce qu’elle fond trop vite et salit les lieux? Pourtant, les doigts enduits d’huile provenant des pâtisseries huileuses comme le feuilleté aux pommes laissent plus de traces tenaces.

Pourquoi se loger sous un corridor aérien? Les avions passent si près qu’on ne peut parler ou entendre quoi que ce soit d’autre. Mon conjoint et moi avons demeuré deux jours et deux nuits sous un corridor. Il fallait élever la voix pour s’entendre. Et l’avion vole tellement bas qu’on voit les détails du fuselage.

Photos : Casarazzi