La plupart des locataires canadiens veulents’offrir une maison. D’après un sondage de Genworth FinancialCanada, 68% d’entre d’eux sont disposés à reporter d’autresachats importants pour pouvoir se payer une maison. Mêmes lesvacances prendraient le bord pour plus de la moitié d’entre eux.Lorsque nous sommes rendus au point de renoncer à des vacances,c’est que l’affaire est sérieuse.
Cet état d’esprit semble plus fortquand on possède déjà une maison puisque 82% des propriétairesactuels iraient jusqu’à renoncer à leurs vacances pour payerleurs hypothèques si jamais des difficultés financières venaientéreinter leur budget. Deuxième indice de ce lien indéfectible quiunit les propriétaires à leurs maisons: 65% d’entre eux sontprêts à se taper un deuxième emploi avant de perdre leur maison.Troisième indice: 44% sont ouverts à l’idée d’héberger unlocataire en période de panne budgétaire.
Ce sont de belles intentions, sauf quele sondage révèle que seulement 16% des Canadiens ont vraiment misde l’argent de côté en cas de perte d’emploi.
Le sondage a été réalisé auprès de2000 Canadiens en septembre dernier. Pour en savoir davantage:www.genworth.ca
En mai dernier, un sondage mené parGenworth avait montré que 84% des Canadiens croyaient que possédersa maison était tout autant une affaire d’émotion qu’uninvestissement sûr et durable. Puis, 85% avaient déclaré préférerêtre propriétaire que locataire même si l’achat d’une maisonentraîne une part de sacrifices.
Toujours en mai, HouseMaster, premierfranchiseur dans le domaine de l’inspection en bâtiment enAmérique du Nord, avait déclaré que l’occasion d’acheter unepremière maison n’avait jamais été aussi belle dans toutel’histoire contemporaine. L’entreprise rappelait qu’entre 1979et 2009, le taux hypothécaire (hypothèque de 30 ans) était passéde 10% à 5% et le pourcentage de saisies d’hypothèque de 0,25% à13,7%