Huit futurs acheteurs sur dix savent dès les premiers moments si la maison qu’ils visitent leur convient ou pas. N’empêche qu’avant de prendre une décision, ils doivent quand même visiter dix maisons en moyenne sur une période de cinq mois. Là aussi il s’agit d’une moyenne.
Leur phobie? Acheter une maison dissimulant un vice majeur (71%). Cela les tracasse davantage qu’une baisse éventuelle de la valeur de la résidence (55%).
Reste que près de sept acheteurs sur dix sont conscients que la maison acquise n’est pas parfaite.
Une proportion de 44% des propriétaires actuels ont été motivés par la perspective des dollars générés par l’achat d’une maison sur une longue période. Tandis que 37% ont bougé car ils croyaient le marché favorable. Une proportion de 23% recherchait un nouveau voisinage alors que 8% répondaient aux besoins d’une famille qui s’élargissait.
Les propriétaires passent par toute une gamme d’émotions durant l’acquisition: l’enthousiasme (48%), la prudence (41%) et l’optimisme (31%). Bien entendu, le stress n’est pas loin. Il affecte un propriétaire sur quatre. Et un propriétaire sur cinq avoue ressentir de la nervosité. Entre vous et moi, c’est peut-être une bonne chose.
Vous ne serez pas surpris d’apprendre que le stress fait davantage de ravage chez les les acheteurs de première maison (30% par rapport à 25%) tout comme la nervosité (25% contre 21%).
D’ailleurs, l’optimisme est moindre chez l’acheteur de première maison (23% par rapport à 31%).
Ces données sont tirées d’un sondage réalisé par la maison Pollara au profit de BMO Groupe financier entre le 25 février et le 5 mars 2013 avec un échantillon aléatoire de 2 000 Canadiens âgés de 18 ans et plus.
Peu importe le temps qu’il vous faudra pour trouver votre maison désirée, Casarazzi vous rappelle de faire votre choix plus avec la tête qu’avec le cœur. Bref, évitez de succomber au coup de foudre. Prenez le temps d’analyser vos besoins réels.
Source : Communiqué de presse BMO
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