Il paraît que c’est le plus important du genre au Québec. Il est situé au siège social de l’entreprise Schlüter Systems à Ste-Anne-de-Bellevue, mais tout l’monde se doute que, dans un avenir rapproché, les murs végétaux vont se répandre partout au Québec, même dans les maisons. Ce n’est qu’une question de temps. Aussi bien pour les propriétaires de se renseigner tout de suite sur la pertinence d’un mur végétal.

Rien n’obligeait Schlüter Systems à se doter d’un tel mur puisque le bâtiment a été construit de façon à réduire la facture d’énergie de 65%. L’entreprise visait la certification Or de LEED-NC, nous informe le journal Bâtiment dans son édition de novembre sous la plume de la journaliste Marie Gagnon.

Rien n’a été épargné : isolation supérieure des murs, dalles et plafonds, toiture recouverte d’une membrane réfléchissante, lumière naturelle abondante et fenestration éconergétique, mur solaire, tunnel canadien et géothermie, récupération des eaux de pluie pour alimenter les toilettes, chasse des appareils sanitaires et robinets des lavabos actionnés par des cellules photovoltaïques. Tout y est!

La question se pose.Pourquoi ajouter un mur végétal? [……]

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Le brun chocolat a-t-il perdu de la popularité? L’acier inoxydable a-t-il toujours la cote? La mélamine a-t-elle encore sa place?

Ce sont les questions que se pose L’Association provinciale des constructeurs d’habitation du Québec (APCHQ) sur l’avenir des cuisines.L’organisme ne fait pas juste poser des questions, il apporte des réponses.

Exemple : « Le contraste des couleurs et des matériaux est une forte tendance dans la cuisine. Ainsi, l‘acier inoxydable, le thermoplastique et le bois sont des matériaux qui pourraient très bien se retrouver dans une même cuisine. De plus, lignes droites et surfaces épurées sont à l’honneur! » indique-t-on dans un communiqué de presse que l’on retrouve dans son intégralité sur le site internet de l’APCHQ.[……]

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C’est à vérifier auprès d’experts, mais semble-t-il qu’il existe un toit fabriqué à partir de rejets industriels et agricoles pouvant résister durant un demi-siècle. Les habitués des salons d’habitation l’ont peut-être déjà croisé.
La région de la Mauricie abrite une trentaine de maisons pourvues de ce toit écologique. Normal: le seul détaillant au Québec se trouve à Hérouxville, le village au fameux code qui avait fait le tour du monde il y a quelques années avec, à sa tête, le conseiller municipal André Drouin.
Il s’agit en fait d’un toit en bardeaux de plastique. Les rejets qui le composent vont d’éclats de pneus usés à la paille de lin en passant par des molécules de polymère et de chanvre. L’énumération peut paraître brutale, mais je vous rassure, le look n’a rien de rébarbatif. Il a même un petit côté glamour.[……]

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