Archives pour l'étiquette eau

Si vous ne voulez pas de mauvaises surprises au printemps, du genre qui vous obligeront à débourser beaucoup de dollars et à réaliser des travaux de grande envergure, il serait judicieux de passer au crible, dès maintenant, les fondations de votre maison. Y a-t-il des fissures?

[caption id="attachment_17456" align="alignright" width="320"]iStock iStock[/caption]

Si vous ignorez une fissure naissante, l’eau s’infiltrera dans votre sous-sol lors de la période du dégel. Et les problèmes débuteront. Plus tôt vous vous en occuperez, moins grands sont les risques que des fondations lézardées, par négligence de votre part, n’affectent la valeur de votre propriété.[……]

Read more

L’été chaud que nous connaissons se répétera au cours des prochaines années, vu le réchauffement de la planète. Vos meilleurs alliés contre la canicule? Les arbres. Il est temps de penser à long terme.

[caption id="attachment_17215" align="aligncenter" width="600"]iStock iStock[/caption]

Planter des arbres sur son terrain, c’est sortir le bazooka contre le réchauffement accéléré du climat. De plus, votre qualité de vie augmente de façon exponentielle. Et votre propriété prend de la valeur. Voici des données de nature à vous convaincre.

[……]

Read more

On en parle peu au Québec, mais en Europe, c’est fort populaire. Des bouquins s’écrivent sur le sujet là-bas. Des vidéos se font voir sur YouTube. Imaginez! Se baigner dans une piscine naturelle, sans produit chimique. Fini le chlore!

[caption id="attachment_17084" align="aligncenter" width="600"]Piscine naturelle patio TOPIA environnement Topia.ca[/caption]

Ce sont les plantes qui se chargent de filtrer l’eau. L’épuration se fait de manière naturelle. L’eau est si pure qu’elle est presque potable.

L’épuration se fait dans un bassin converti en lagune. C’est là que les plantes, nénuphars ou autres, accomplissent leur travail de filtration. Puis l’eau s’écoule dans la zone réservée à la baignade à travers une cascade ou un mur de débordement. C’est la phase oxygénation, complétée par certaines plantes. L’eau circule toujours, ce qui éloigne les moustiques attirés par les eaux stagnantes. C’est le principe d’un lac situé en montagne. Même simplicité, même fraîcheur, même plaisir de se baigner.[……]

Read more

Au delà des matériaux sains et durables et de la récupération et du recyclage, et toujours dans le cadre d’une vie plus saine et de la lutte contre l’accélération du changement climatique, à quoi peut bien ressembler le cocooning écologique? Grosso modo à ceci.[……]

Read more

[caption id="attachment_15904" align="alignleft" width="300"]Enviro-option.com Enviro-option.com[/caption]

Le gouvernement du Québec entend sensibiliser les professionnels du bâtiment à la mérule pleureuse en vue de développer une expertise pour mieux combattre le champignon dévastateur, qui se nourrit du bois et le pousse à se décomposer, ce qui fragilise les structures d’une maison.

Mais les propriétaires ont un devoir à accomplir qui a maintes fois été répété sur ce blogue. Il s’agit d’un exercice de prévention qui relève du gros bon sens. Il faut aérer régulièrement l’intérieur de nos propriétés et évacuer l’humidité excessive le plus vite possible. La moindre infiltration d’eau doit être réparée dans les plus brefs délais. L’air doit circuler, surtout dans des endroits qu’on a tendance à oublier, le sous-sol par exemple.

Récemment, la ministre responsable de la Protection des consommateurs et de l’Habitation, Lise Thériault, a déposé, à l’Assemblée nationale, le rapport du comité interministériel sur la mérule pleureuse, attendu depuis plusieurs mois.

Piloté par la Société d’habitation du Québec (SHQ), le comité avait pour mandat de rassembler de la documentation face aux multiples propriétés contaminées par ce champignon dévastateur. Il devait ensuite formuler des recommandations au gouvernement. Les voici intégrales.
[……]

Read more

Elle est sournoise, rampante et affreusement discrète. Si elle n’est pas repérée à temps, elle peut causer des dommages bien plus grands que vous ne le croyez. Et la facture risque d’être salée.

L’hiver étant derrière nous, l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) recommande à chacun des propriétaires de procéder à une vérification des lieux pour contrer toute concentration d’humidité qui, par malheur, se montrerait trop ambitieuse et entretiendrait le projet de s’étendre à l’intérieur et autour de votre propriété.

Commençons par le toit, la partie de votre maison qui s’est fait «brasser la cage» durant la ronde de gel et de dégel et sous l’accumulation de neige et de pluie depuis l’été dernier. L’APCHQ vous conseille de vous attarder aux éléments suivants.[……]

Read more

[caption id="attachment_12308" align="alignright" width="320"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Je le confesse: durant des années je n’ai pas eu recours à des assurances car je croyais que, comme locataire, c’était le propriétaire qui assumait tout. Un raisonnement qui remonte au temps où j’étais étudiant.

Chambreur, je ne possédais pratiquement rien. Je n’avais donc rien à assurer, je me disais. Pourquoi m’assurer?

Jusqu’au jour où un proche a sonné la cloche. J’ai alors compris que je l’avais échappé belle. Lorsque j’entends quelqu’un raconter un dégât d’eau et qu’il a dû payer les frais parce qu’il n’était pas assuré, je frissonne.

Le Bureau d’assurance du Canada (BAC), par la voix de son directeur des communications et des affaires publiques, Pierre Babinsky, vient tourner le fer dans la plaie.[……]

Read more