Ils sont nombreux les indicateurs économiques qui font pression sur les taux d’intérêt. Cela ne signifie pas que la hausse sera fulgurante ou même continuelle, mais qu’il y en aura certainement d’autres dans un proche avenir.
D’ailleurs, même si le taux directeur de la Banque du Canada reste bas sur le plan historique et que le taux d’inflation grimpe à la vitesse de l’escargot, plusieurs propriétaires ont commencé à réduire leurs dépenses de façon notable. Pour eux, les hausses sont irréversiblement enclenchées.
Destiné entre autres à protéger davantage les consommateurs contre les services financiers frauduleux, le projet de loi 141 passe difficilement la rampe dans le milieu de l’habitation. On s’inquiète, on monte le ton, on demande qu’il soit retiré.
Le marché immobilier va tellement bien que la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) entrevoit un record des ventes non seulement pour 2017, qui tire à sa fin, mais pour l’année 2018 alors que le marché devrait fracasser le plafond de verre, soit un nombre record de 85 000 transactions. Pour 2017, on prévoit 82 600 transactions.