Le propriétaire met en moyenne cinq mois avant de décider s’il vend sa propriété ou non. Le boomer et la génération X, en tout cas. Les milléniaux, eux, sont déjà en train de planifier la vente.
Zillow, le leader américain de l’immobilier, a publié une étude intéressante l’an dernier sur le comportement du propriétaire vendeur. Jetons un coup d’oeil aux grandes lignes.[……]
La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) et ses 13 000 courtiers demandent aux quatre principaux partis politiques de se prononcer sur les enjeux qui continuent de secouer le marché immobilier résidentiel.
Estimant que le public n’est pas suffisamment protégé, la FCIQ a formulé des demandes en ce sens aux chefs de parti. Les voici telles qu’énoncées par l’organisme.[……]
Savoir poser les bonnes questions avant de procéder à l’achat d’une propriété est essentiel pour l’acheteur voulant fuir les mauvaises surprises. Malgré l’abondance d’informations disponibles, sur ce blogue-ci entre autres, trop de propriétaires encore se retrouvent avec des problèmes qui coûtent des milliers de dollars.
Selon le deuxième sondage annuel de l’entreprise Allstate du Canada, effectué par la firme Léger, le quart des propriétaires québécois disent avoir connu des problèmes importants dans les cinq années suivant l’achat de leur propriété. Parmi eux, 7 % ont subi des dommages variant entre 1 500 $ et 5 000 $, et 5 % ont fait face à des dommages dépassant 10 000 $.
André Parra, directeur principal, réclamations, Québec et Maritimes, chez Allstate du Canada, a un conseil pour les futurs acheteurs : [……]
La Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) a réalisé en 2017 sa première enquête sur les motivations et l’humeur du moment des acheteurs de logement en puissance. Les résultats ont été publiés la semaine dernière.
L’étude analyse la dynamique des intentions d’achat de trois groupes de futurs acheteurs: les accédants à la propriété, les anciens propriétaires et les acheteurs déjà propriétaires. Elle aborde également leurs connaissances et leur compréhension globales du processus d’achat, indique la SCHL. On vous livre intégralement l’essentiel des résultats.[……]
Les acheteurs capables de fournir une mise de fonds de 20% et plus dans l’obtention d’un contrat hypothécaire, donc non obligés de contracter une assurance, devront se soumettre à une simulation de crise à partir du 1er janvier 2018.[……]
La migration des acheteurs, des vendeurs et des courtiers immobiliers vers le cyberespace et l’univers numérique est en cours depuis longtemps, mais elle va s’accélérer dans un avenir très rapproché. Le courtier doit s’y préparer.
C’est la principale conclusion du rapport mondial de la HSBC, intitulé Au-delà de la brique : L’avenir de l’immobilier résidentiel, issu d’une étude menée auprès de plus de 9 000 personnes dans neuf pays.
Selon le rapport, «le financement des entreprises consacrées aux technologies de rupture applicables à l’immobilier a passé de 221 millions à plus de 2 milliards de dollars US, de 2012 à 2016», ce qui fait dire à Larry Tomei, vice-président à la direction et responsable en chef des services bancaires de détail et gestion de patrimoine, Banque HSBC Canada, que «le secteur immobilier est mûr pour une innovation technologique radicale qui va transformer la façon dont les acheteurs abordent chacune des trois étapes principales du processus d’accès à la propriété : la recherche, le financement et l’achat.»
C’est rare qu’un gouverneur de la Banque du Canada se prononce aussi clairement. Aux yeux du gouverneur actuel Stephen S. Poloz, les taux d’intérêt ne sont pas près de remonter.
Rappelons que c’est la Banque du Canada qui fixe les taux au pays. Les institutions bancaires suivent sa ligne directrice.
Poloz a profité d’un discours tenu récemment devant l’Association des économistes québécois, le Cercle finance du Québec et CFA Québec, pour prévenir les Canadiens qu’ils devront apprendre à vivre avec des faibles taux d’intérêt.
Pour les futurs acheteurs et les propriétaires appelés à renouveler leur hypothèque, c’est une très bonne nouvelle. Surtout pour les plus jeunes parmi eux, les membres de la génération Y qui, petit à petit, viennent grossir les rangs des acheteurs potentiels.[……]