PUBLICITÉ

Les maisons de Lennon et de McCartney préservées

L’agence France-Presse nous apprenait la semaine dernière que le gouvernement britannique s’est engagé à préserver les maisons d’enfance de John Lennon et de Paul McCartney.
Cela veut dire qu’aucune rénovation ne pourra être apportée aux maisons sans le consentement des autorités britanniques. Il faut savoir que certaines des premières chansons des Beatles ont été écrites dans ces maisons de Menlove Avenue (Lennon) et de Forthlin Road (McCartney) à Liverpool.

C’est le cas entre autres de Please please me -l’un des premiers hits des Beatles- dont les premiers accords ont résonné dans la véranda de la maison d’enfance de Lennon. Dans le même laps de temps, le tube I saw her standing there prenait naissance dans la maison de McCartney. Les deux musiciens n’étaient encore que des ados.

McCartney house national trust. Photo : Wikipedia

D’autres propriétaires avaient acheté les résidences des deux musiciens après leur vente par les parents. Des travaux de rénovation avaient été apportés. Mais l’organisation britannique National Trust s’est chargée de redonner aux deux maisons leur look d’antan.
Jusqu’ici, rien d’inusité. Sauf qu’il y a cinq ans environ, l’un des deux rédacteurs de ce blogue avait fait la rencontre d’un fan fini des Beatles qui s’était payé un voyage en Angleterre afin de marcher dans les traces du super groupe britannique.

Lennon Maison d'enfance Mendips. Photo Tve4 Wikipedia

Suivant le dépliant touristique, l’homme s’est retrouvé au domicile de Lennon. L’organisation National Trust faisait justement les travaux de restauration. S’approchant du site, l’homme a mis la main sur des morceaux du toit de la maison et les a glissés dans sa poche.

Depuis, le fan des Beatles est super excité de montrer à son entourage les morceaux du toit de la maison de Lennon.

Posséder un vêtement ayant appartenu à une idole de la chanson, un stylo, un manuscrit, un instrument de musique est monnaie courante. Mais brandir au premier venu le débris d’une maison en guise d’objet fétiche, c’est plutôt rare.