Archives pour l'étiquette locatif

La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) tient à rassurer les acteurs de l’univers immobilier: propriétaires, futurs propriétaires, courtiers et autres. Il n’y aura pas d’impact majeur Québec, à court terme du moins, malgré la taxe imposée aux investisseurs étrangers en Ontario.
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Quelles sont les premières questions à se poser lorsqu’on envisage l’acquisition d’un immeuble à revenus ?
D’abord, vais-je y habiter ou pas ? Si c’est 100 % locatif, d’un point de vue fiscal, on pourra soustraire de nos revenus toutes les dépenses courantes liées à l’immeuble. En revanche, si on est propriétaire occupant, seules les dépenses pour les logements en location seront déductibles. Par ailleurs, à la revente, la portion de l’immeuble que le propriétaire habite est exonérée de l’impôt sur le gain en capital. S’il est entièrement loué, l’ensemble du gain en capital est imposable.

De plus, quand on vise un immeuble précis, il faut consulter le rôle d’évaluation foncière pour s’assurer que le nombre de logements inscrit sur la fiche du courtier est exact. Si un sous-sol habitable est considéré comme un logement par la Ville, cela compte pour une porte de plus. Dans un tel cas, la mise de fonds exigée pourrait augmenter.

Justement, quelle est la mise de fonds requise pour ce type d’achat ?
Si on loue tous les logements, la mise de fonds minimale doit correspondre à 20 % du prix d’achat de l’immeuble.

Dans le cas d’un propriétaire occupant, une assurance prêt hypothécaire permet de réduire la mise de fonds à 5 % du prix d’achat dans le cas d’un duplex. Pour un triplex ou un quadruplex, c’est 10 % minimum.

Ces règles sont les mêmes pour toutes les institutions financières canadiennes.[……]

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Non seulement le nombre de copropriétés non vendues est élevé au centre-ville de Montréal, mais il le sera davantage au cours des prochaines années, ont tranché les experts de la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL).

[caption id="attachment_12474" align="alignright" width="331"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Il y a débat depuis plusieurs mois chez les professionnels de l’immobilier dans la grande région de Montréal. D’un côté, on affirme que le marché finira par absorber le surplus de copropriétés; de l’autre, on croit que non. Geneviève Lapointe, analyste principale de marché à la SCHL, partage l’avis de ces derniers. La raison: trop de chantiers actuellement au centre-ville.   [……]

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