Quand la télévision s’est répandue sur la planète dans les années 50, on avait prédit la mort du théâtre. Pourquoi se déplacer alors qu’on pouvait voir et entendre des gens dialoguer au petit écran, bien installés chez soi? Or, le théâtre a survécu.
Quand Internet s’est répandu dans le monde au tournant des années 90, on avait annoncé la mort du livre. Cela semblait évident. Or, non seulement le livre n’est pas mort, mais il est apparu plus nécessaire que jamais.
Quand Facebook et les autres réseaux sociaux ont pris l’humanité d’assaut, on avait annoncé un «crash» dans les relations humaines. C’est le contraire qui s’est produit. Les gens se voient davantage qu’avant.
La résistance du théâtre, du livre et des relations humaines s’explique par un seul facteur: ils possèdent des forces qui leur sont propres. Bref, ils sont irremplaçables. Et cette évidence prend de la force année après année.
[caption id="attachment_13919" align="aligncenter" width="600"] iStock[/caption]Le courtier immobilier passe à travers cette phase actuellement. Les sites consacrés à l’immobilier et les sites de ventes se multiplient sur le web. Mais le courtier est toujours là. Son utilité devient de plus en plus claire à mesure que la concurrence se corse. Les exemples abondent.
En voici un.[……]