Archives pour l'étiquette banlieue

Il aborde les sociétés de technologie immobilière, les drones, les résidences pour retraités, les tarifs douaniers sur l’acier, l’offre de terrains, le coût d’une unifamiliale, les banlieues, le cannabis, le courtage numérique. Bref, le document est un must pour les courtiers immobiliers.

Nous avons tiré les principales lignes générales pour les besoins de ce blogue, mais il vous faudra consulter le rapport pour obtenir les détails.[……]

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Le resserrement de l’accès à l’hypothèque a pris différentes formes ces derniers mois. Or, au Québec du moins, les transactions immobilières ne dérougissent pas. Le ralentissement prévu ne s’est pas produit, même si certains aspirants propriétaires se sont vus obligés de modifier leur stratégie.

L’automne dernier, les membres de l’Association nationale de l’industrie hypothécaire du Canada (ANIHC) ont rencontré plus de 50 députés et hauts fonctionnaires à l’intérieur de deux jours. L’objectif : sensibiliser les élus et administrateurs aux conséquences néfastes que pouvait provoquer un resserrement hypothécaire.[……]

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Cela se produit souvent. Un propriétaire heureux de son acquisition finit par désenchanter. La propriété lui déplaît? Au contraire! Le problème, c’est le quartier, les voisins, les services publics. Avant l’achat, le propriétaire avait jugé inutile d’explorer le quartier. Danger!

Tout excité d’avoir trouvé la propriété désirée, on se dépêche à signer de peur de la perdre. De l’autre côté, le vendeur est bien content de vendre, surtout s’il a obtenu le prix qu’il voulait. Sans penser mal, il sera porté à exagérer les avantages. Aller au centre-ville de Montréal? Trente minutes (en réalité c’est le double). La station de métro la plus proche? Dix minutes à pied gros maximum (en autobus oui). Et ainsi de suite.

L’acheteur et le vendeur sont fébriles, ils coupent court, ils se créent des illusions. On veut croire ce qu’on veut croire. C’est normal.[……]

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[caption id="attachment_13218" align="alignright" width="213"]iStock.com iStock.com[/caption]

Les petites annonces servant à vendre des propriétés résidentielles nous font parfois sursauter.

Exemples: ce matin où les futurs propriétaires ont appris que des maisons rustiques étaient à vendre en Italie pour un seul euro (LaPresse/immobilier), ou en Indonésie où une femme s’engageait à épouser (LaPresse/insolite) le futur propriétaire de sa maison qu’elle avait mise en vente (pour la suite des deux histoires lire plus bas).

Là où ça devient dangereux, c’est lorsqu’une petite annonce est destinée à tromper l’aspirant propriétaire. Selon les experts d’Écohabitation, les gens à la recherche d’une maison écologique sont très ciblés par des entrepreneurs sans scrupules.[……]

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Non seulement le nombre de copropriétés non vendues est élevé au centre-ville de Montréal, mais il le sera davantage au cours des prochaines années, ont tranché les experts de la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL).

[caption id="attachment_12474" align="alignright" width="331"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Il y a débat depuis plusieurs mois chez les professionnels de l’immobilier dans la grande région de Montréal. D’un côté, on affirme que le marché finira par absorber le surplus de copropriétés; de l’autre, on croit que non. Geneviève Lapointe, analyste principale de marché à la SCHL, partage l’avis de ces derniers. La raison: trop de chantiers actuellement au centre-ville.   [……]

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Je m’en souviens comme si c’était hier. Et plusieurs d’entre vous s’en souviendront également.

[caption id="attachment_11281" align="alignright" width="340"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Dans les années 80 et 90, plusieurs experts annonçaient un pic pétrolier pour 2015. La demande allait excéder l’offre. La production mondiale ne suffirait plus. Le  prix à la pompe allait grimper de façon spectaculaire. Les déplacements en auto seraient devenus si exorbitants  que le transport en commun était appelé à connaître un essor sans précédent.

Du point de vue de l’immobilier, on voit tout de suite les conséquences. Les prix à la pompe étant trop élevés, beaucoup de nouveaux propriétaires se seraient tournés vers la ville pour l’achat de leur première maison. Les propriétaires déjà installés en banlieue auraient été tentés de quitter la banlieue pour la ville.

Résultat: les prix des propriétés allaient exploser au cœur et en périphérie des grandes villes. En banlieue, vu l’affaiblissement de la demande, c’est l’inverse qui se serait produit.  Montréal et les autres grandes villes étaient donc sur le point d’entrer dans une zone de turbulence.[……]

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Elle s’était juré de ne jamais demeurer à Laval. Montréal était sa ville. Puis vint l’urgence d’acheter sa première maison. Rien à faire, à Montréal c’est trop cher. Mon amie habite aujourd’hui le quartier Ste-Rose à Laval.

La fille de ma conjointe me racontait récemment que la plupart de ses amis, une fois le premier enfant venu au monde, ont quitté Montréal pour Laval. Ils auraient bien voulu élever leur famille à Montréal. Trop cher. Tout indique que l’hémorragie se poursuit. Mais Montréal ne baisse pas les bras.

[caption id="attachment_10043" align="aligncenter" width="520"]iStockphoto LP Montréal, Québec, Canada (photo iStockphoto LP)[/caption]

À la séance de mai, le Conseil municipal a autorisé la poursuite de l’application du Plan de fidélisation des familles 2014-2017 . Ce plan comporte de nouvelles mesures visant à retenir les citoyens montréalais en leur apportant une aide financière supplémentaire en vue de l’acquisition d’une propriété.

Comme prévu, le plan fait le bonheur de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), organisme qui rassemble près de 10 000 courtiers immobiliers de la région.

Voici les nouvelles mesures du plan: [……]

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