Archives pour l'étiquette BAC

Plusieurs régions du Québec ont goûté aux orages violents dans la journée d’hier. Météo Média énumère les dégâts sur son site : arbres brisés ou carrément cassés, poteaux électriques projetés au sol, crues subites à cause de fortes pluies et de grêle (à Lasalle entre autres), pannes d’électricité pour des dizaines de milliers de clients d’Hydro-Québec.

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Des rafales de vent de 72 km/h ont été enregistrées à l’aéroport de Saint-Hubert, au sud de Montréal. Peut-être une microrafale près de Drummondville. La grêle a fait des siennes à Ste-Marie-de-Beauce.

Non seulement fallait s’y attendre, vu la chaleur accablante et l’humidité excessive des derniers jours et l’arrivée d’un front froid, mais ces rafales de vent risquent de devenir familières car l’été s’annonce chaud. Ajoutez à cela le réchauffement climatique et vous vous retrouvez devant de fortes possibilités que ces orages violents se multiplient au cours des prochaines années.

Le Bureau d’assurance du Canada (BAC) nous rappelle…[……]

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Il y a un comportement à adopter quand vient le moment de déposer les déchets ou bac de recyclage au chemin.

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Par exemple, je refuse obstinément de déposer notre sac d’ordures la veille de la collecte. Je le dépose le matin même. Je ne veux pas qu’un chat, un écureuil ou tout autre animal ne vienne percer le sac durant la nuit.

Le matin de la collecte, en me dirigeant vers mon travail, je vois toujours des sacs éventrés sur le trottoir. Les déchets sont répandus sur le béton, sur l’herbe et parfois dans la rue. Ça fait sale.

Et puis, qui ramasse les dégâts? Nous ou le préposé à la collecte? Ni l’un ni l’autre que je me dis.

Ma conjointe, elle, affiche une attitude exemplaire en matière de recyclage. Elle observe à la lettre les recommandations de l’arrondissement, celui d’Ahuntsic-Cartierville, à Montréal.

Avant de déposer le bac au chemin, elle prend le temps de trier les matières dans le bac. Elle veut sauver de l’ouvrage aux travailleurs de l’usine. Elle veut surtout que tout soit vraiment recyclé et non rejeté. Là-dessus, je suis un peu négligent. Disons que je ne montre pas autant de rigueur que ma conjointe.

Bref, nous avons tous nos propres manies.

À Beaconsfield, ville anglophone dans l’ouest de Montréal, on procède à une innovation majeure en matière de collecte: une collecte robotisée accompagnée d’une tarification incitative.[……]

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[caption id="attachment_12308" align="alignright" width="320"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Je le confesse: durant des années je n’ai pas eu recours à des assurances car je croyais que, comme locataire, c’était le propriétaire qui assumait tout. Un raisonnement qui remonte au temps où j’étais étudiant.

Chambreur, je ne possédais pratiquement rien. Je n’avais donc rien à assurer, je me disais. Pourquoi m’assurer?

Jusqu’au jour où un proche a sonné la cloche. J’ai alors compris que je l’avais échappé belle. Lorsque j’entends quelqu’un raconter un dégât d’eau et qu’il a dû payer les frais parce qu’il n’était pas assuré, je frissonne.

Le Bureau d’assurance du Canada (BAC), par la voix de son directeur des communications et des affaires publiques, Pierre Babinsky, vient tourner le fer dans la plaie.[……]

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