Archives pour l'étiquette 2015

Le fabricant de peintures Benjamin Moore s’est livré à son exercice annuel: repérer les tendances couleur qui flottent dans l’air. Sa principale conclusion est que le blanc occupe toujours la place sur le trône.

[caption id="attachment_12803" align="aligncenter" width="580"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

La directrice de la création chez Benjamin Moore, Ellen O’Neill, a livré un bel hommage au blanc: « Intemporel, le blanc est puissant et polarisant, en ce sens que, soit on le tient pour acquis ou on en fait une obsession. Plus qu’une simple tendance, le blanc est un élément fondamental du design. Dans notre secteur d’activité, la popularité du blanc et son caractère essentiel, voire même mystique, sont quantifiables. Au palmarès des dix couleurs Benjamin Moore les plus vendues, des variantes de blanc occupent cinq places. Il était donc inévitable que le blanc allait un jour être désigné couleur de l’année. »[……]

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Je m’en souviens comme si c’était hier. Et plusieurs d’entre vous s’en souviendront également.

[caption id="attachment_11281" align="alignright" width="340"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Dans les années 80 et 90, plusieurs experts annonçaient un pic pétrolier pour 2015. La demande allait excéder l’offre. La production mondiale ne suffirait plus. Le  prix à la pompe allait grimper de façon spectaculaire. Les déplacements en auto seraient devenus si exorbitants  que le transport en commun était appelé à connaître un essor sans précédent.

Du point de vue de l’immobilier, on voit tout de suite les conséquences. Les prix à la pompe étant trop élevés, beaucoup de nouveaux propriétaires se seraient tournés vers la ville pour l’achat de leur première maison. Les propriétaires déjà installés en banlieue auraient été tentés de quitter la banlieue pour la ville.

Résultat: les prix des propriétés allaient exploser au cœur et en périphérie des grandes villes. En banlieue, vu l’affaiblissement de la demande, c’est l’inverse qui se serait produit.  Montréal et les autres grandes villes étaient donc sur le point d’entrer dans une zone de turbulence.[……]

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