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Vous avez échoué? Vous n’êtes pas seul

Malgré tous vos efforts et votre bonne volonté, vous ne parvenez pas à amasser l’argent pour l’achat de votre première maison, ou deuxième ou troisième, ou d’une copropriété ou d’un immeuble à revenu. Et cela dure depuis un certain nombre d’années.

Connaissez-vous la théorie du FailCamp? C’est très simple: l’échec fait partie intégrante du succès. Les deux vont de pair. Ils composent un même tout.

L’échec n’est pas un point d’arrivée, mais une étape vers le point d’arrivée. Pour employer le langage populaire, vous n’êtes pas au terminus si vous avez échoué. Il faut demeurer dans l’autobus et continuer.

Le printemps dernier, la journaliste Marie-Claude Lortie de La Presse a assisté à un colloque sur l’art de se casser la gueule. Différentes personnalités reconnues pour avoir eu beaucoup de succès sont venues raconter leurs pires échecs. Et croyez-moi, certains d’entre eux ont sûrement fait très, très mal.

«On a parlé d’humiliation, de dépression, de perte d’argent, de dettes à payer, de vocation manquée, de projets ratés. Et on a bien ri. Et pleuré aussi un peu parce que peut-on parler d’échec sans un peu de tristesse ? Mais surtout, on a parlé de résilience, de rebonds, de solutions, de regards différents afin que l’échec soit vu pour ce qu’il est : une étape sur le chemin de toute vie, de toute carrière, de toute construction d’entreprise», d’écrire la journaliste.

Étaient présents au colloque, Andy Nulman, cofondateur de Just for Laughs et d’Airborne, Jean-Martin Aussant, économiste, analyste financier et homme politique, Justin Kingsley qui est venu raconter une expérience traumatisante en tant qu’attaché de presse du premier ministre Paul Martin. Et d’autres également.

La conclusion? L’échec total n’existe pas. C’est toujours une leçon, un tremplin, une bonne histoire dont on rit ensuite, une expérience dont le sens changera, se définira au fil du temps, expliquait l’un des participants.

C’est à lire.

Photo: istock.com