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Vivre vert et plus longtemps

Deux études viennent  donner du poids à l’hypothèse selon laquelle le mode de vie écologique, à travers l’emplacement de la propriété et le concept de la maison durable, améliore la qualité de vie et augmente même l’espérance de vie.

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Celle publiée dans le journal The Lancet Planetary Health nous apprend que vivre au milieu d’arbres et d’autres végétaux, jour après jour et non pas une fois par semaine dans le parc le plus proche, réduit le risque de décès de 8 à 12 %.

L’étude a été menée par des chercheurs universitaires canadiens et américains. L’échantillon : 1,3 million de Canadiens vivant dans une trentaine de ville. L’enquête a duré 11 ans. L’analyse se faisait dans un rayon de 250 mètres autour de chacune des propriétés.

L’étude apporte de l’eau au moulin des écologistes qui réclament davantage d’espaces verts aux autorités municipales et aux urbanistes afin que tout l’monde puisse en profiter. Pa seulement les mieux nantis, mais également les moins fortunés et la classe moyenne.

Le printemps dernier, une recherche menée conjointement par le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) et la Banque Royale du Canada (RBC) révélait qu’un bâtiment écologique, mises à part l’économie d’énergie et la valeur ajoutée à l’immeuble qu’il apporte, augmente la productivité des employés au sein d’une entreprise.

L’échantillon : plus de 40 000 employés de RBC et celles de plus de 70 immeubles de bureaux de la firme bancaire.

On lit dans le communiqué de presse que «la satisfaction professionnelle, l’engagement des employés, l’engagement organisationnel et le rendement évalué par les gestionnaires sont en général plus élevés dans les bâtiments écologiques.»

Parions que si le bâtiment écologique modifie de façon aussi positive l’attitude des employés au sein d’une entreprise, son impact sur un ménage habitant une maison ou une copropriété doit être tout sauf négatif.

Photo: istock.com