PUBLICITÉ

Un marché qui n’attend que les investisseurs

Logements aînés immobilier ISTOCKPHOTO finance
Source: iStockphoto LP

La construction de maisons intergénérationnelles n’a pas connu la vague attendue. Celle des logements en copropriété a hypnotisé les investisseurs ces dernières années au détriment des immeubles locatifs. Pourtant, les aînés sont là. Et ils sont nombreux. Et savez-vous quoi? Ils seront de plus en plus nombreux à mesure que les années vont défiler. Nous ne sommes même pas au sommet de la vague.

Vous songez à investir dans l’immobilier? Le marché des logements pour aînés reste une cible de choix. Mais encore faut-il connaître les préférences des retraités et des futurs retraités et savoir s’y adapter.

Les besoins d’un couple d’aînés vivant dans une zone rurale ne sont certainement pas les mêmes que ceux d’un couple habitant une ville de grande dimension comme Montréal et Québec. Le premier vit dans un milieu homogène aux services publics limités. Ses besoins sont davantage primaires. Le deuxième couple a l’embarras du choix en termes d’emplacements et de services. La question qu’il faut se poser par contre: que veut-il exactement?

Aussi, on sait tous que la plupart des baby boomers ne veulent pas se retrouver dans une résidence pour personnes âgées.  Ils veulent vivre à domicile le plus longtemps possible. Bien sûr, ils n’auront pas le choix de se tourner vers une résidence si l’autonomie leur fait défaut un jour, mais en attendant ils ont des besoins d’aménagement à combler à la maison. Un  investisseur avisé saura y répondre.

La Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) vient de réactualiser sa publication Le logement des aînés au Canada : le guide du marché des plus de 55 ans.  Le premier d’une série de plusieurs volumes est disponible. Le titre: Comprendre le marché. Pour les investisseurs, il s’agit d’un guide qui peut s’avérer utile.

Là où le document devient fort intéressant, c’est que la SCHL met l’accent sur les communautés culturelles. Le Canada est un pays formé d’immigrants et cela n’est pas près de changer, vu le faible taux de natalité. L’investisseur doit tenir compte des préférences des immigrants.

L’investisseur sait-il par exemple que certains immigrants préfèrent le centre-ville? D’autres par contre optent pour la banlieue. La SCHL prescrit à l’investisseur de s’associer avec des organisations communautaires pour  mieux saisir les besoins et les préférences des immigrants.

Les autres volumes de la SCHL concernent l’analyse de marché, la planification et la conception de logements à l’intention des aînés, et les services et les commodités dont l’investisseur devra tenir compte.

Cela vous intéresse? Vous pouvez télécharger le document à www.schl.ca

Photo : iStockphoto LP