Archives pour l'étiquette vie de famille

Le courtier immobilier doit s’adapter à sa clientèle car elle change au fil des générations. Les boomers disparaissent petit à petit. Qui les remplacent? Les membres de la génération Y (18 à 34 ans). Ils constituent les deux tiers des premiers acheteurs. Qui sont-ils? Comment les aborder? Voici un résumé.[……]

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Beaucoup de propriétaires optent pour un quartier où se trouve un parc d’amusement. Ils veulent que leurs enfants aient un endroit où jouer, grimper, s’amuser.

Si le parc est dénué d’appareils de jeux, les enfants peuvent quand même s’amuser. Ils courent sur l’herbe, jouent à la cachette derrière les arbres, font des jeux dans leur tête.

Si le quartier ne contient aucun parc, des avenues vertes offrent au moins un cadre de vie agréable. Arbres, arbustes, gazon par endroits, oiseaux qui chantent.
Bref, le propriétaire à la recherche d’une maison s’arrange toujours pour offrir à sa petite famille un quartier propice au développement des enfants.

Une étude menée par une équipe de chercheurs du Centre de recherche du CHU Ste-Justine, et rapportée par le journaliste Daniel Baril du journal Forum de l’Université de Montréal, nous apprend que les arbres sont davantage qu’un espace de jeu pour les enfants. Ils leur procurent un sentiment de sécurité. Et toute la famille en bénéficie.

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Ils sont légion à considérer Bobby Orr comme le meilleur joueur de hockey de tous les temps. Aux yeux de Sam Pollock et de Scotty Bowman, il fait partie des joueurs les plus spectaculaires de l’histoire.

[caption id="attachment_11639" align="alignright" width="340"]Bobby Orr (Wikipedia cca Aaron Frutman, flickr) Bobby Orr (Wikipedia cca Aaron Frutman, flickr)[/caption]

Il est le seul défenseur de la Ligue nationale de hockey à avoir terminé en tête des compteurs de la Ligue, exploit qu’il a réalisé deux fois, et le seul à avoir reçu le trophée Norris remis au meilleur défenseur en huit occasions, sans arrêt, de 1968 à 1975.
Bobby Orr est une légende.

L’homme vient de publier son autobiographie. En revenant un soir chez moi, Anabel m’a accroché dès mon entrée. «Je viens de lire l’autobiographie de Bobby Orr», dit-elle, toute excitée. Elle se jette sur un calepin et me raconte pendant vingt minutes toutes les phrases qu’elle avait notées. Elle était fébrile.

Curieux, j’ouvre le livre et je tombe sur les phrases suivantes:

«Notre foyer ne respirait guère l’aisance; ce n’était décidément pas un palais. On pouvait s’en rendre facilement compte à certains détails: les planchers, par exemple, n’étaient pas de niveau. En fait, si vous laissiez quoi que ce soit sur le sol, il finissait par glisser ou à rouler à l’autre bout de la pièce.[……]

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