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La grande région de Montréal vient d’enregistrer un mois d’août record depuis que les ventes résidentielles sont recensées. Une hausse de 8% par rapport à août 2016, stimulée par les ventes de copropriété, a permis à la région de connaître cette performance.

Voici les grandes lignes du rapport mensuel de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM).[……]

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Suite à la conférence Fenêtre sur le marché présentée par la Fédération des chambres immobilières du Québec, l’année 2017 sera une année de stabilité quant aux prix de vente, qui ne devraient pas croître de plus de 1 % au Québec. Les taux d’intérêts, quant à eux, seront maintenus. Cependant, il est à prévoir qu’une légère hausse de l’ordre de 0,25 à 0,5 % se manifestera vers la fin du 2e semestre de l’année. Cette hausse était prévisible depuis un certain moment.

[caption id="attachment_14880" align="aligncenter" width="601"]iStock iStock[/caption]

La copropriété du côté de Montréal continuera à bien s’écouler en 2017. Cependant, dans la région de Québec, un repli continuera de s’effectuer. L’année 2016 a vu le délai de vente des copropriétés dans la Capitale Nationale s’étendre à  plus de 180 jours et son prix médian reculer de 4 %.[……]

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L’année 2014 a laissé un léger goût amer avec des ventes résidentielles moindres qu’escomptées, motivant plusieurs analystes à prévoir une prudente augmentation de 2 % pour 2015. Or, malgré divers rebondissements économiques, le marché immobilier nous a réservé plusieurs belles surprises à l’échelle de la province au cours de cette année.

Taux directeur, dépréciation du dollar et emplois

Notamment, au grand étonnement de tous, la Banque du Canada a décidé, au début de l’année, de réduire son taux directeur à 0,75 %, favorisant ainsi une diminution des taux hypothécaires. Les répercussions de ce changement ont donné lieu à des termes plus bas et à de généreux rabais. De surcroît en juillet dernier, la Banque du Canada récidivait, faisant passer son taux directeur à 0,50 %. Si cette deuxième diminution n’a pas eu autant d’effet sur les taux hypothécaires que la précédente, elle a au moins eu le mérite d’influencer les banques canadiennes à réduire leur taux préférentiel respectif, aidant entre autres l’économie canadienne à retrouver de sa vigueur.

Également, au chapitre des facteurs influençant le marché, le domaine de l’emploi s’est montré particulièrement résistant aux fluctuations, affichant la création de plus de 80 000 emplois au Canada au cours de l’année.

[caption id="attachment_13098" align="aligncenter" width="580"]iStock iStock[/caption]

Plus de ventes que prévues et légère augmentation de prix

Si plusieurs anticipaient un faible accroissement des ventes résidentielles de 2 % pour 2015, comme mentionné plus haut, on dénotait déjà, à mi-chemin de l’année, une augmentation de 5 %. La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) prévoyait même terminer l’année avec 6 % ou 7 %, annonçant du même coup que 2015 se clôturerait sans doute avec près de 75 000 propriétés vendues, une affirmation partagée également par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

Concernant les prix des propriétés auxquels plusieurs prêtaient une stagnation prochaine, ceux-ci ont enregistré une timide augmentation de 1 % selon la FCIQ au cours de 2015. À cet effet, la SCHL présageait « un prix moyen Centris® entre 260 000 à 280 000 $ pour cette année ».[……]

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