Archives pour l'étiquette Rive-Sud

[caption id="attachment_13197" align="alignleft" width="300"]iStock iStock[/caption]

Après une hausse de 12% en janvier, les ventes résidentielles ont connu une hausse de 15% dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal au mois de février, par rapport à février 2015.

Le secteur Vaudreuil-Soulanges a vu ses ventes bondir de 20%. Suivent la Rive-Sud et la Rive-Nord avec 19% et Laval 15 %. L’île de Montréal ferme la marche avec une augmentation de 9%.

À noter que la Rive-Sud de Montréal est en pleine effervescence avec une progression de 20% des ventes au cours des trois derniers mois.

Ces données proviennent de :[……]

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maisons_hypotheque_fleche-bleu_ISTOCKPHOTO_financeAu mois de janvier, les ventes résidentielles ont bondi de 12% dans la région de Montréal par rapport à janvier 2015. Il s’agit d’une onzième hausse mensuelle consécutive. Il faut remonter à 2009-2010 pour observer une telle séquence.

Voici de façon intégrale les données Centris rapportées par La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) :[……]

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[caption id="attachment_10474" align="alignright" width="331"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Pour un huitième mois consécutif, les ventes de propriétés ont enregistré une hausse dans la grande région de Montréal, soit 9% au cours du mois d’octobre comparativement à octobre 2014.

C’est la plus belle performance du mois d’octobre depuis quatre ans, avance la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) à travers les plus récentes statistiques de la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.

Les copropriétés et les unifamiliales ont joué le rôle de locomotive durant ce mois d’octobre exceptionnel.

Voici les données rapportées intégralement:[……]

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La ville de Laval a joué le rôle de locomotive dans la grande région de Montréal en ce qui a trait aux ventes résidentielles. Celles-ci ont augmenté de 18% en août par rapport à août 2014 sur le territoire lavallois.

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La Rive-Nord et l’île de Montréal ont excellé également avec des hausses respectives de 13 % et de 10 %. La Rive-Sud s’est montrée timide avec une augmentation de 1% de ses ventes.

Seul le secteur de Vaudreuil-Soulanges a connu une baisse, soit -7 % comparativement à août 2014.

Dans l’ensemble, les ventes ont augmenté de 8% au mois d’août dans la grande région de Montréal. On parle ici d’une sixième augmentation mensuelle consécutive et du mois d’août le plus actif depuis quatre ans, soutient la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) en se basant sur la base des données provinciales Centris des courtiers immobiliers.[……]

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[caption id="attachment_12198" align="alignright" width="327"]iStockphoto iStockphoto[/caption]

Récemment, la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) annonçait la fin de la baisse des ventes résidentielles dans le Grand Montréal. Elle avait vu juste.

Vendredi dernier, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) annonçait une hausse de 9% des ventes durant le mois de mai, par rapport à mai 2014.

Non seulement il s’agit d’une troisième hausse consécutive, mais ce mois de mai a été le plus actif ces trois dernières années.

Revenons à la SCHL. Les experts prévoient une augmentation globale du volume des transactions de 2% cette année. Il s’agirait du premier bilan positif depuis 2010. La raison: [……]

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Je m’en souviens comme si c’était hier. Et plusieurs d’entre vous s’en souviendront également.

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Dans les années 80 et 90, plusieurs experts annonçaient un pic pétrolier pour 2015. La demande allait excéder l’offre. La production mondiale ne suffirait plus. Le  prix à la pompe allait grimper de façon spectaculaire. Les déplacements en auto seraient devenus si exorbitants  que le transport en commun était appelé à connaître un essor sans précédent.

Du point de vue de l’immobilier, on voit tout de suite les conséquences. Les prix à la pompe étant trop élevés, beaucoup de nouveaux propriétaires se seraient tournés vers la ville pour l’achat de leur première maison. Les propriétaires déjà installés en banlieue auraient été tentés de quitter la banlieue pour la ville.

Résultat: les prix des propriétés allaient exploser au cœur et en périphérie des grandes villes. En banlieue, vu l’affaiblissement de la demande, c’est l’inverse qui se serait produit.  Montréal et les autres grandes villes étaient donc sur le point d’entrer dans une zone de turbulence.[……]

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