Archives pour l'étiquette propriété

Einstein disait que la folie, c’est de toujours utiliser le même moyen pour atteindre un but alors que ce moyen échoue sans cesse. Vous ne réussissez pas à épargner assez d’argent pour l’achat d’une propriété? Voici un nouveau moyen : les applications mobiles.

Il existe plusieurs applications mobiles pour vous permettre d’échapper à la folie d’Einstein et d’épargner davantage pour que votre désir de devenir propriétaire se concrétise.[……]

Read more

Presque un acheteur sur deux (45%) parmi les propriétaires milléniaux (génération Y) ont bénéficié d’un don financier ou d’un prêt familial pour acheter leur première maison.

[caption id="attachment_15135" align="aligncenter" width="600"]iStock iStock[/caption]

Le sondage commandé par Manuvie indique également que 37% des propriétaires de la génération X et 31 % des boomers ont bénéficié d’une telle aide financière. On voit tout de suite que plus les générations passent, plus les aspirants à la propriété ont besoin d’une nouvelle source de financement, mis à part le prêt hypothécaire. Selon Manuvie, cela s’explique par…[……]

Read more

Selon un sondage de la Banque CIBC, nombreux sont les Canadiens qui se disent prêts à vendre leurs maisons pour en acheter une autre. Le problème, c’est que le prix à l’achat est trop élevé. Que faire?

Voici les principales conclusions du sondage rapportées intégralement:[……]

Read more

La journaliste Isabelle Ducas recevait récemment une mention d’honneur pour trois articles publiés dans La Presse. L’un d’eux portait sur les calculateurs hypothécaires en ligne. Nous avons jeté un coup d’œil. Conclusion : ce sont des outils qu’on peut utiliser mais de façon intelligente.

[caption id="attachment_15253" align="aligncenter" width="600"]iStock iStock[/caption]

Dans l’article intitulé Immobilier et retraite : gare aux calculateurs en ligne, Mme Ducas fait appel à deux experts qui se prononcent sur la fiabilité de ces calculateurs que l’on retrouve sur le site Web de l’ensemble des institutions financières, et même d’autres organismes. L’un des experts est de l’UQAM, l’autre des HEC de l’Université de Montréal.

Tous les deux se montrent d’accord: sans renier ces calculateurs, il faut se montrer prudent. Les deux experts indiquent les limites de ces calculateurs en ligne et les données qu’il faudrait ajouter pour qu’ils soient davantage exacts.[……]

Read more

Selon un sondage de la TD, un acheteur sur quatre au Québec le fait en solo. On entend par acheteur celui qui a déjà acheté ou celui qui s’apprête à le faire.

Parmi ces acheteurs solos, neuf sur dix se disent capables d’assumer tous les frais entourant l’achat et l’entretien d’une propriété Ces acheteurs se distinguent des autres par le sérieux qu’ils affichent.

Selon la TD, «sept Québécois célibataires sur dix disent avoir pris en compte les taxes foncières (70 %), l’assurance habitation (76 %) et l’entretien (66 %) avant d’acheter une propriété, et plus de la moitié (52 %) ont pris en considération le coût des services publics. À peine 9 % n’ont pas songé aux coûts associés à la propriété avant de commencer le processus d’achat.»

Les experts financiers de la TD offrent une série de conseils aux acheteurs solos, que nous citons presque intégralement.[……]

Read more

« Il n’y a jamais qu’un seul prix. À chaque propriété sont associés un prix plancher et un prix plafond », résume Patrick Juanéda, président de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ). D’un côté, le vendeur souhaite conclure une transaction en recevant le montant le plus près du prix plafond. De l’autre, l’acheteur désire débourser une somme se rapprochant du prix plancher. Deux solitudes inconciliables? Pas du tout. Il est tout à fait possible de trouver un terrain d’entente, et c’est ce que devrait faire une bonne négociation.

Cerner la bonne affaire

« Le prix est toujours négociable, dit M. Juanéda. On chiffre la marge de réduction moyenne entre 2 à 3 %. »

L’expert en immobilier insiste néanmoins sur le caractère unique de chaque situation : « Si une propriété est affichée au “bon prix” (près du prix plancher) et qu’elle est localisée dans un marché actif (celui des maisons unifamiliales autour de 300 000 $, par exemple), même une surenchère n’est pas impossible. Est-ce qu’on voudra perdre notre chance pour quelques milliers de dollars? »

Inversement, une propriété sur le marché depuis plus de six mois et autour de laquelle l’activité a été faible permettra une plus grande marge de manœuvre.

Identifier ces divers scénarios est donc la base de toute négociation. Un courtier immobilier qualifié a l’expérience et l’instinct pour guider un acheteur. Autrement, il faut avoir navigué dans les fiches de propriétés à vendre du secteur et en avoir visité plusieurs pour développer son flair.[……]

Read more