Archives pour l'étiquette location

Cela arrive à plusieurs d’entre nous. Un décès survient, un changement au travail, un coup de foudre amoureux, des difficultés financières à venir ou, au contraire, le désir soudain de faire de l’argent rapidement, bref les circonstances sont multiples. On se retrouve à un carrefour où on doit décider si on vend notre maison ou si on la loue.

La louer apporte un nouveau lot de responsabilités : trouver de bons locataires, s’assurer que la maison est en ordre, répondre aux urgences, assimiler de nouveaux calculs fiscaux. Ce n’est pas dans le tempérament de tout l’monde.

Vendre est tellement plus facile, mais peut-être moins payant à long terme. Beaucoup moins payant. Et si on approche de la retraite, il faut prendre le temps de s’interroger car on vit beaucoup plus vieux de nos jours. Il faut davantage d’argent si on veut conserver un niveau de vie agréable.[……]

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La Sibérie, les goulags, les froids polaires, les babouchkas à la mine sévère, la vodka qui coule à flots, les méchants tsars, les méchants communistes, le KGB, la mafia, la corruption, la xénophobie, l’homophobie, l’agression en Ukraine, voilà ce que le mot Russie évoque dans la tête de la plupart des gens. Du moins, c’est l’impression qu’on a.

Les Russes? Ils sont froids avec leurs yeux délavés. Ils sont antipathiques. Peut-être même cruels. Vaut mieux se méfier d’eux.

Tout ça n’est pas totalement faux, mais c’est loin d’être totalement vrai. D’abord, il y a la presse occidentale qui, de par la nature de son travail, ne nous rapporte que les mauvaises nouvelles venant de Russie. Ensuite, il y a l’intense propagande américaine contre la Russie depuis un siècle.

Mais surtout: qui d’entre nous compte un Russe dans son entourage? Un voisin, un ami, une connaissance de longue date avec qui on échange depuis des années.

Alors, gardons-nous une petite gêne et avouons-le: nous connaissons mal les Russes.

La journaliste Maureen Demidoff, elle, connaît bien les Russes. [……]

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On tient souvent pour acquis qu’ailleurs, ça se passe exactement comme ici dans le secteur de l’habitation. Que ce soit pour l’achat, la location, le courtage immobilier, l’ameublement.

C’est faux.

Lorsque j’ai terminé le chapitre portant sur le logement du bouquin Vivre la Corée, j’avais l’embarras du choix pour le titre de ce billet tellement les différences étaient frappantes. C’était surprise après surprise.

La Corée du Sud, c’est en Asie. Là-bas, la culture est complètement différente. Elle se rapproche plus du Japon que de l’Amérique ou de l’Europe. Nous sommes loin du bungalow nord-américain.

À force de fréquenter les clubs med dans les pays du Sud ou de limiter nos voyages à l’Amérique du Nord, il est normal de penser que tout est uniforme dans l’univers de l’habitation. Il faut se tourner vers les pays éloignés pour apprendre de nouvelles façons de faire.

Une mise au point s’impose: [……]

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[caption id="attachment_8288" align="alignright" width="216"] Source : iStockPhoto[/caption]

À écouter mes amis me raconter leurs aventures[1] pour trouver un logement à Montréal, je ne pouvais pas ne pas vous parler de l’arnaque dans laquelle ils sont presque tombés.

Après des heures de recherche sur Internet, enfin, ils trouvent.

Beau logement avec trois chambres fermées, sobre, près du Vieux-Montréal à 1200 $ par mois. En plein ce dont ils rêvaient. Ils sont tout excités. Mon amie envoie un courriel.

Voici des brides de la première réponse:[……]

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Voici un article puisé dans une publication deTrois-Rivières au sujet des maisons intergénérationnelles que je publieintégral avec l’autorisation du journaliste.

La maison intergénérationnelle fait parler d’elle depuis lesannées 80 en tant que solution miracle pour héberger la masse vieillissante desbaby boomers. Mais où sont-elles?

« C’est mort! » lance Jean Dion, président deComfortTech Construction. «On dirait que personne ne veut en parler. Comme siles développeurs de terrain n’étaient pas intéressés ou que la demande n’étaitpas là.

«Ca ne date pas d’hier pourtant, ajoute-t-il. La premièrefois que j’en ai entendu parler, c’était à la fin des années 80. Le concept m’atoujours intéressé mais à Trois-Rivières, malgré tous mes appels, ça n’a jamaisdébouché. Il n’y a pas moyen d’obtenir de l’information nulle part! »[……]

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