Des signes de condition problématique subsistent à Montréal et à Québec, mais ils sont modérés, ce qui montre que le marché se tient hors de la zone dangereuse.
À Montréal, une surévaluation menace toujours à cause d’un ralentissement de la demande et d’un revenu personnel disponible qui refuse toujours de s’élargir.
Du côté des copropriétés, le marché s’est calmé mais les constructeurs sont appelés à gérer leurs stocks avec diligence. [……]