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Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones

J’ai passé le dernierweek-end dans un chalet de Saint-Faustin, dans les Laurentides au nord deMontréal. Vu la dimension du bâtiment, c’était plutôt une maison de campagne. Quatre chambres, trois salles debain, toit cathédrale au-dessus de la salle à manger et de la salle de séjour, fenestrationomniprésente, verrières, charpente en bois rond, toit mansarde. Nous avionsloué pour la fin de semaine.

En bavardant avec unmembre de la famille, j’ai appris que l’acteur Michael Douglas et sa femmel’actrice Catherine Zéta-Jones habitaient dans les Laurentides. Le couplepossède une maison à La Conception, non loin de Mont-Tremblant.

«J’étais dans unrestaurant de St-Jovite lorsque j’ai croisé le couple, me racontait l’homme. Leurvisage me disait quelque chose. Plus tard, quelqu’un m’a confirmé qu’ils’agissait bien de Michael Douglas et de Catherine Zeta-Jones et que le couplepossédait une propriété dans les alentours. »

Le gars avait raisonpuisque j’ai retrouvé un article du New York Times rapportant que Michael etCatherine se faisait construire près du Mont-Tremblant,  Une autre site fait allusion au lac Desmarais.

 Il semblerait que les deux stars d’Hollywoodaient adopté la région des Laurentides lors d’un tournage dans les environs.Leur enfant serait asthmatique. À leur grande surprise, ils se seraient aperçusque leur kid respirait mieux dans cette région proche du Mont-Tremblant. C’estdu moins ce qu’aurait rapporté un journal local.

J’ignore quel filmavait amené le couple d’Hollywood dans cette belle région du Québec, mais on serappellera que Catherine Zéta-Jones était l’un des acteurs principaux dans lefilm Le Terminal de Steven Spielberg, tourné à l’aéroport de Mirabel au débutdes années 2000. Tom Hanks campait le rôle principal.

Je risque peu de metromper en affirmant que la proximité du Mont-Tremblant, endroit par excellencepour les membres du jet set international, a joué un rôle dans la décision ducouple de s’installer au Québec.

Aussi, la réputationdes Québécois de laisser leurs vedettes tranquilles n’est sûrement pasétrangère au choix de Douglas et de Zéta-Jones. Les paparazzis ne font paspartie de la culture québécoise. Pour les mégastars, c’est un avantage nonnégligeable.

C’est la deuxième foisque j’entends parler de la présence de stars d’Hollywood ayant choisi lesLaurentides. Souvenez-vous de mon billet sur l’actrice Halle Berry qui auraitun pied-à-terre dans la région, elle qui a épousé un mannequin québécois derenommée internationale, Gabriel Aubry.

Si vous aimez lespotins, tapez les mots: « Ces stars de cinéma qui habitent leQuébec » de Casarazzi.