PUBLICITÉ

Hausses des ventes à Montréal et Québec

iStockphoto
iStockphoto

La hausse de 5% des ventes résidentielles dans la région de Montréal en 2016 est la plus importante depuis 2012, soutient la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM).

Voici d’autres faits saillants rapportés presque textuellement.

Les copropriétés et les plex de 2 à 5 logements ont enregistré les plus fortes augmentations, soit de 8 % et de 7 % respectivement, tandis que l’unifamiliale a affiché un gain de 4 %.

Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître, avec des hausses de 8 % dans Vaudreuil-Soulanges, de 7 % sur la Rive-Sud, de 6 % sur l’île de Montréal, de 4 % sur la Rive-Nord et de 2 % à Laval.

Le haut de gamme a connu une très bonne année, les ventes de propriétés à plus de 500 000 $ augmentant de 20 %.
Les hausses de prix se sont avérées modestes. La hausse du prix médian des unifamiliales n’a pas dépassé 3 % pour une cinquième année de suite.

Les prix médians des unifamiliales, des copropriétés et des plex, à l’échelle de la RMR, se sont établis respectivement à 295 000 $ (+2 %), 240 000 $ (+1 %) et 460 000 $ (+3 %).

Les prix ont progressé de manière plus soutenue sur l’île de Montréal. Le prix médian des unifamiliales y a crû de 5 % pour s’établir à 415 000 $, tandis que le prix médian des copropriétés y a gagné 3 %, à 285 000 $.

Du côté de l’offre, le nombre d’inscriptions en vigueur a diminué (-10%) pour la première fois après cinq hausses annuelles consécutives. Ce sont surtout les unifamiliales (-13%) qui ont plombé le nombre d’inscriptions.

La grande région de Montréal a dit bye bye à 2016 avec une hausse de 7% des ventes résidentielles au quatrième trimestre.

iStock
iStock

À Québec, la Chambre immobilière de Québec (CIQ) rapporte une augmentation de 2% des ventes résidentielles en 2016.
Les faits saillants (rapportés presque textuellement) sont les suivants.

Hausse des ventes de plex (+7 %), hausse modérée pour la maison unifamiliale (+2 %), repli pour la copropriété (-3 %).

Le secteur de la Périphérie Nord a connu une forte croissance (+13 %) avec 870 ventes. L’activité a été stable dans l’agglomération de Québec (4 728 ventes) et a diminué de 2 % sur la Rive-Sud (1 123 ventes).

Le prix médian des unifamiliales est resté stable pour une troisième année consécutive. La moitié des maisons se sont vendues à plus de 248 000 $.

Le prix médian des copropriétés a baissé de 4 %. Celui des plex a augmenté de 7 %. Les prix respectifs sont de  190 000 $ et 306 000 $. Le prix médian du plex a connu une forte progression dans la Périphérie Nord (+15 %). Celui de la copropriété sur la Rive-Sud a chuté (-8 %).

En moyenne, 7 633 propriétés étaient à vendre sur le système Centris, soit une hausse de 6 % par rapport à 2015. Il s’agit d’une sixième hausse annuelle consécutive pour les trois secteurs.
Martine Bélanger, directrice générale de la CIQ, commente: «Comme en 2015, les conditions du marché sont restées légèrement à l’avantage des acheteurs pour les propriétés unifamiliales et les plex, alors qu’il y avait respectivement 11 et 12 mois d’inventaire à écouler sur le marché à la fin de l’année. Toutefois, il y a encore un surplus de copropriétés, ce qui confère un net avantage aux acheteurs lors des négociations (21 mois d’inventaire)».

Photos: istock.com