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De la lumière pour traverser l’hiver!

Les faces d’enterrement se multiplient. Normal: on entre dans les journées les plus courtes de l’année. Les fenêtres nous livrent moins de lumière. L’intérieur dela maison s’assombrit.

Pour plusieurs, même ceux qui affectionnent le cocooning, la vie s’arrête presque. Le visage s’allonge, les yeux se creusent, la peau devient laiteuse. On se fâche pour un rien. On a les deux pieds coulés dans le béton. C’est la déprime pour les uns, la dépression pour les autres.

Cela s’appelle le TAS, trouble affectif saisonnier. Non seulement les médecins l’ont officiellement reconnu, mais ilsont prescrit un traitement biologique: la luminothérapie. On s’achète unelampe à laquelle on s’expose tous les jours, de préférence le matin.

On se gave de lumière en s’adonnant à une activité qui nous force à rester immobile. En lisant un livre par exemple, en tricotant, en répondant à ses courriels ou en jouant sur son Iphone ou son Blackberry.

Encore faut-il savoir quelle lampe acheter.

Les experts de Protégez-vous ont procédé à une série de tests sur les différentes lampes offerts sur le marché. Les résultats sont disponibles dans l’édition de décembre 2010.

« Selon une étude publiée dans le Journal of Affective Disorders, le TAS touche davantage les femmes et les jeunes adultes entre 20 et 30 ans, et deux études publiées par l’Association des psychiatres du Canada concluent qu’il diminue vers l’âge de60 ans », lit-on dans l’article de Protégez-vous qui porte le titre :« Vaincre le blues de l’hiver ».

Les experts du magazine déterminent la puissance lumineuse requise, le prix de certains appareils, le temps d’exposition et la distance à respecter entre le visage et la lampe. Ils apportent un bémol aux lampes à lumière bleue, abordent les tubes fluorescents et le simulateur d’aube pour un réveil en douceur (vraiment spécial!).

« Aucune ordonnance n’est nécessaire pour acheter une lampe de luminothérapie mais il vaut mieux consulter un professionnel de la santé afin de s’assurer que les symptômes ressentis sont bel et bien associés au TAS » écrit la journaliste.

L’importance de consulter un professionnel de la santé est d’autant plus grande que la luminothérapie est déconseillée aux gens atteints de certaines maladies.

Pour en savoirplus : www.protegez-vous.ca ou on se rend au kiosque le plus proche.

Fidèle à son habitude, Protégez-vous nous livre aussi une liste de bouquins et d’adresses Internet à consulter.